Amélie Devogelaere

J’ai découvert le Reiki via ma belle sœur qui avait suivit une formation. Le reiki fait partie des médecines douces asiatiques comme le shiatsu. C’est d’ailleurs toujours délicat de parler de médecine, dans la mesure où ces «sciences» si on peut les appeler ainsi, né font pas appel aux médicaments, ni aux traitements habituels.
Je n’irai pas jusqu’à dire que le reiki guérira votre jambe cassée, mais selon moi le recours aux médecines douces est en marche. Peut-​être davantage en ce qui concerne le psychique que les maux physiques.
Si vous vous sentez stressé, dépressif ou même ballonné (oui ça arrive), c’est le genre de pratique douce qui pourrait arranger vos affaires.
Le plus difficile à comprendre avec cette forme de guérison, est qu’il n’y a quasiment pas de contact avec le patient, on né peut pas véritablement parler de massage, mais davantage d’ondes, et de pressions.
Le grand secret du reiki est que la plupart de nos maux sont psychosomatiques, et que parfois le recours aux médicaments n’aura aucune efficacité, c’est là que «l’imposition des mains» intervient.
Avec cette médecine spéciale, on apprend principalement à se détendre et à se recentrer sur soi-​même.
Une certaine crédulité est nécessaire, car si vous partez perdant, en vous moquant délibérément de ce genre de pratiques, ça né sert à rien d’essayer. Laissez vos chakras bougons là où ils sont.
J’ai rencontré Amélie Devogelaere dans le cadre d’un reportage sur le sujet, c’est une personne très douce et à l’écoute, et qui n’a pas de tarif fixe. Chacun essaye de donner en fonction de ses moyens, car la santé n’a pas de prix (surtout quand on sait que ce genre de soins n’est pas remboursé bien évidemment).