Sports World/Direct

Je veux bien aimer cette boutique pour ces prix et la variété de produits… Mais je né peux pas.
Le locale est géant, peut-​être même beaucoup trop, et on s’y perd très facilement dedans — c’est comme un énorme labyrinthe cauchemardesque où on tourne en rond pour trouver ce qu’on cherche parce qu’il n’y a aucune logique dans leur organisation des produits. Il y a tellement de choses qu’on né peut pas bouger proprement, ce qui devient vite frustrant quand tu dois faire place à des nombreuses poussettes qui passent!
Je crois quand même que la pire partie de ce Sports World est la zone des chaussures. Peut-​être parce que c’est où il y a plus de monde, ou peut-​être parce que les employés dans cette partie sont toujours accrochés à leurs walkie talkies. C’est intimidant, à mon avis.
Donc voilà. C’est tout ce que j’ai à dire.

Hier après-​midi, je me suis mis en tête de trouver de nouvelles chaussures de course (Euh, oui, je suis encore un de ces has been qui pratique la course à pied, pas le running; y a un problème ?). J’ai d’abord privilégié la proximité et me suis rendu chez Trakks à la chaussée de Waterloo, où j’ai failli perdre les eaux, mes esprits et bien plus encore en voyant les prix affichés — qui, par ailleurs, suivent une loi mathématique des plus étranges (Plus la chaussure est légère — pardon, on dit «minimale «- et plus le prix est élevée). Le premier que j’entends dire que le prix est justifié par la «technicité embarquée «, je lui lâche ma chienne (par ailleurs, inoffensive :).
Après cette première tentative avortée, je consulte l’appli Unilocal,enfourche mon vélo et me retrouve chez Sport Direct à la chaussée d’Ixelles. Bön, je débarquais clairement dans un autre univers. Espace gi-​gan-​tesque, étiquettes fluorescentes faisant plus que du tape-l’oeil, poussettes qui hurlent, bandes d’ado qui viennent passer l’après-midi, vendeurs qui gueulent dans leur talkie sans oublier le gorille à l’entrée aussi impassible qu’un garde de Buckingham Palace: bienvenue dans l’univers du Discount !
J’ai eu la chance de tomber directement sur un vendeur sympathique (lui aussi adepte de la course à pied) qui m’a offert des conseils personnalisés. J’avais l’impression d’acheter la dernière Apple Watch en or massif (Calmez-​vous, elle n’est pas encore sortie et vous né pourrez probablement pas vous la permettre ;). Bref, mon expérience n’a pas été aussi traumatisante que celle de Christoph mais je comprends qu’on né puisse pas toujours avoir la chance que j’ai eue.
Néanmoins, on passé chez Sport Direct pour une et une seule chose: leur vaste gamme d’articles à des prix défiant toute concurrence. Alors, si vous y allez dans un esprit «souk» (N’essayez tout de même pas de marchander le prix de cette paire de chaussettes) et que vous êtes prêt (e) à flâner dans ce bazar –en mode autonome– en attendant de tomber sur un vendeur dispo, il se pourrait que vous y retourniez plus souvent à la recherché de ce haut en lycra qui né manquera pas de mettre en valeur votre silhouette svelte — et ce, sans avoir dû casser la tirelire.

Tu souhaites faire tes achats chez Sport World? Combat shoes, bandana et boussole sont de rigueur. Quel foutoir !
Ils sont rares les Sport Direct/​World bien rangés, mais celui-​ci mérite la palme d’or tellement c’est le bordel.
Enjamber les cartons de chaussures et slalomer entre les racks à vêtements sont deux épreuves que les gérants affectionnent particulièrement.
Généralement, j’applaudis le large choix, mais là c’est plus possible, y en a partout. On a l’impression que le magasin fait également office de stock et c’est assez désagréable.
Les néons qui te défoncent les yeux, l’odeur nauséabonde et le personnel des plus accueillant (ironie bonjour), faut être un commando pour passer plus de 20min dans ce magasin.
Pourquoi 2 étoiles après tout ce négatif ?
La première parce qu’il le faut bien.
La seconde pour les prix intéressants.

JE N Y REMETS PLUS LES PIEDS!!!
Je mets une étoile parce que comme Christoph, il est pas possible de lui en mettre ZERO…
Mais bon, il faut tout de même lui laisser sa seule utilité, c’est du Low cost!
J’ai beau cherché, je né vois pas ce qu’il a d’autre d’intéressant.
Par contre, à éviter:
1. quand tu es claustrophobe, agoraphobe, et/​ou maniaque: c’est le bordel!
2. parce que tu ressors de là plus agressif qu’en rentrant
3. parce que le vigile à l’entrée te demander de lui montrer ton ticket en sortant, même quand ça sonne pas…
Je me demande d’ailleurs s’il existe un low cost (hormis Décathlon) à Bruxelles, plus sympa?

1 étoiles, juste parce qu’il faut en mettre minimum 1.
(le mieux c’est vrai, aurait été de né pas écrire d’avis du tout, mais j’ai l’impression que ça va me faire du bien, vous allez comprendre.)
Par où commencer (surtout que Maxou ci-​dessous, ben il a été relativement complet).
En fait, si vous vous levez de mauvaise humeur, qu’il vous prend l’envie de frapper qq’un ou sur les murs. que tout vous saoule, allez donc faire un tour chez Sports World. Une fois là-​bas, né dites bonjour à personne, posez vos questions sèchement, regarder les gens de travers, raclez votre gorge, foutez le bordel partout… allez à la caisse, engueulez la caissière parce qu’elle n’est pas capable de scanner la bonne boîte…en sortant, préparez votre ticket parce que le pas gentil vigile VA de toute façon vous le demander (parce que c’est vrai que vous avez vraiment une tête de voleur). Arrivez devant lui le bras levé et mettez lui le ticket sous le nez… attendez…né dites pas au revoir.
Voilà, peut –être que comme ça, l’expérience Sports World vous paraîtra moins horrible.

Sport Direct ou Sport World? haha anyway les 2 font la paire. Comme la paire de running shoes que j’ai mis 4 épisodes à acheter chez eux.
Tout à commencé il y a un mois lorsque mes séances de jogging sont devenues assez régulières pour justifier l’achat du matériel ad hoc. Je passé donc le portique de chez
, (je passé devant la vitrine en allant chercher mon sandwich tous les midis). Tu le sais quand tu entres que t’es pas au Conrad, c’est évident. Le seul qu’est plus ou moins content de rentrer c’est ton porte-​feuille. Mais pour que ce dernier puisse intervenir chez
, c’est tout un pata-​caisse. Cet enfer pavé de fringues en bordel pour tous les sports, entre lesquelles il faut pouvoir se frayer un chemin, n’a pour seul ciel que les saints-​néons blancs de chez ton paki d’en face. Low Cost justifie toujours jusqu’ici, on est bien d’accord. J’ai bien trouvé ma paire, oui c’est celle-​là que je voulais: le choix est énorme il faut le reconnaitre. Mais pour la pointure c’est l’aventure! Si tu tombes bien, il y a une personne qui est responsable de ton rayon. Si non, ben c’est non. Si c’est oui, tu la harponnes, c’est pas elle qui vient à toi. Si t’es là juste pour regarder, t’es sûr de pas te faire embêter. Tu lui demandes si ta pointure est disponible, elle n’en sait rien mais elle va demander via talkie-​walkie à son collègue perché dans le stock. Chouette! Ils ont ma pointure! «Pour essayage, veuillez vous rendre au bout là-​bas on va s’occuper de vous.» Merci. Mais premier mensonge. Le modèle que j’ai commandé n’est pas celui apporté par le collègue. Pas de bol, mais je dois filer, j’ai une réunion début d’aprem. Je quitte ainsi les lieux sans mes nouvelles baskets, et c’est dommage. Par deux fois, les semaines qui suivirent, j’ai re tenté ma chance mais même sketch à chaque fois. Agacé, et on le serait à moins, mais le maga est bien placé. Y a rien a dire et sur la pause de midi c’est tout de même bien pratique. En désespoir de cause, j’entre chez Sport World, leur autre magasin situé chaussée d’Ixelles. J’ai trouvé mon bonheur dans la seconde. Vient alors la désormais fameuse séance d’essayage. Cette fois, personne pour m’aider, personne né semble s’occuper du rayon running. Je me rends donc 3 rayons plus loin où je tombe sur un employé qui me dit qu’un employé va venir m’aider. Cela fait déjà 15 min que je suis là. Finalement quelqu’un vient m’aider, via talkie-​walkie, plus de suprise– aucune à ce stade d’avancement de notre quête de la chaussure de course. J’attends donc patiemment que mes pompes arrivent. C’est pas les bonnes mais elles sont chouettes aussi, si si. Le vendeur qui né fait que jurer dans son talkie s’interrompt l’espace d’un instant pour me tendre la chaussure droite. Je chausse donc. C’est merveilleux c’est 43 et je m’y sens fort bien. Je demande alors à essayer le pied gauche mais ceci est impossible malheureusement. Jamais au grand jamais tu né te retrouveras avec deux nouvelles pompes au pieds dans le maga. Tu peux essayer l’autre mais tu dois d’abord rendre la première. Ils ont probablement peur que les clients tappent des pointes et se barrent avec les shoes aux pieds, ce qui est quand même loin d’être probable; enfin je veux dire, pour des gens civilisés. Y a quand même d’autres moyens plus pratiques pour voler, enfin je crois. C’est dire en tout état de cause la considération qu’il vouent à leurs clientèle. J’étais outrés mais bon… je la boucle car j’y suis presque. Par le talkie-​walkie je crois comprendre que celles que j’ai au pied et qui né sont finalement pas si mal du tout, né me coûteront que 60 euros et non 75 comme les autres. Chance? Bof, car c’était pas vraiment le cas et ça je l’ai su qu’à la caisse une fois la boîte acheminée, car non, tu peux pas les porter les pompes mais si elles te vont, ils né te les donnent pas en main propre, un employé doit les transmetrtre à la caisse. Elles correspondent alors à un numéro que tu dois retenir et donner à la caissière afin alors, et seulement alors, de pouvoir, Dieu existe, payer (plus cher que prévu) mais tu t’en fous t’es presque dehors et y a plus que ça qui compte. Ca fait 46 minutes que tu assistes à ce cirque et il serait peut-​être temps qu’il prenne fin. Mais voilà, comme tout bon show qui se respecte, on termine avec le grand final: En sortant du magasin, après avoir payé et n’avoir entendu ni voici, ni merci mais juste vu le cul de la vendeuse qui parlait avec sa collègue qui taff à l’arrière, je me cru libéré et j’avais tort. Oh oui:
Vigile: veuillez ouvrir le sac, s’il vous plait.
Moi: Pardon?
Vigile: le sac s’il vous plait?
Moi: Vous contrôlez tous vos clients?
Vigile: Presque.
Moi: Vous n’avez pas honte?
Vivile: Non pourquoi?
Moi, Ben parce que je reviendrai plus, par exemple.
Vigile: Qu’est ce que ca peut bien me foutre que tu reviennes pas. Moi j’ai mon gros chèque à la fin du mois, c’est tout ce qui compte, hein.

Totalement d’accord avec les autres, c’est le coin des bonnes affaires! Cela fait des années que j’entre ici pour m’acheter des baskets, des Converse, des shorts, ou des t-​shirts. Le prix des valises fait envie aussi: dix, quinze ou vingt-​cinq euros (si ma mémoiré est bonne). J’en ai acheté pas mal ici. Le seul problème est qu’elles se cassent après six ou sept voyages, mais c’est de la faute des bagagistes, ou des pavés de certaines villes…
Il né faut pas attendre les soldes pour entrer chez Sports World, puisque les baskets coûtent parfois à peine vingt euros. Et elles tiennent le coup, elles. On peut même acheter des parapluies ici, j’imagine qu’ils sont de meilleure qualité que chez Casa ou H&M (j’espère en tout cas).
Il existe un vaste choix d’articles, il suffit de se faufiler parmi les rayons. Parfait pour s’acheter un petit maillot de bain, des sneackers pour le jogging, ou une valise pour mettre tout ça dedans!

Dans mes bonnes résolutions de me remettre à courir, j’étais en quête de chaussures de running.
En matière de sport, mon premier réflexe c’est Decathlon, j’aime leurs produits. Et puis une amie m’a dit :“qu’est-ce que tu vas t’enquiquiner à aller jusqu’à Anderlecht alors qu’il y a une énorme boutique de sport sur la chaussée d’Ixelles?”.
Ah ouais, tiens, pas bête la guêpe, j’y cours ! Wow, quel choix ! Après moultes essayages, j’opte pour une paire de running Nike à 15 €. Elles sont un peu laides certes, mais je courrai tellement vite avec que personne n’aura le temps de s’en apercevoir.
J’en profite pour explorer le reste des rayons hyper fournis. Oooooh, une paire de botte de pluie vert kaki, taille 38 à 5 € ! Ayant perdu les dernières dans la boue d’un quelconque festival, l’occaz est trop belle.
Je m’avance encore vers le fond du magasin au rayon des sports de raquette. Je m’y connais pas mal en badminton et j’examine l’offre. Pas mal du tout pour un magasin non spécialisé…
Soudain, je vois ma raquette de compétition. Celle que j’ai justement acheté en boutique spécialisée à 75 €. Ici elle est en promo à 25 €.
De rage, je mords dans ma botte en caoutchouc.

Je suis l’un des nombreux fidèles de ce temple des bonnes affaires, et le resterai tant que mes jambes fonctionneront encore.
J’y achète tout, trainers, chaussures de foot, matériel de natation, le tout est d’y montrer le bout de son nez de temps en temps et scruter les étalages à l’affut de la paire à 20 euros, parfois même 15 pour certaines pointures.
Aussi, à chaque passage, impossible de repartir sans un paquet de chaussettes à 2 euros les 3 paires étalées devant les caisses.
C’est bien simple, pour mon usage personnel, je n’ai plus besoin d’aller ailleurs pour trouver mon bonheur, puis ça encourage à faire du sport aussi.

Au beau milieu de la chaussée d’Ixelles, ceux qui font parfois du shopping dans ce coin là connaissent son enseigne bleue et rouge. Le bruit et la cohue constante né donnent pas envie de rester, mais si il vous vient des envies de sport sans envies de flamber, Sports World pourrait vous intéresser …
L’assortiment de produits reliés au sport est très varié. Un grand rayon de chaussures de sport, aux prix cassés souvent intéressants, certaines paires simples pouvant être vendues à 20 euros ! Mais armez vous de patience, car les employés y sont en sous-​effectifs et on doit souvent attendre, malgré leur bonne volonté et leur énergie.
Il y a aussi beaucoup de t-​shirts de marque, parfois à des pris ridicules, de quoi s’habiller des pieds à la tête pour une valeur totale de 50 euros, c’est sans doute possible.
Attention, n’y cherchez pas du matériel trop spécialisé, mais pour ce qu’on y trouve, difficile de faire moins cher. A noter que Sports World est une déclinaison belge de Sports Direct en Angleterre, mais que le magasin né peux pas vous renseigner sur les articles proposés sur le site (anglais, le site belge n’existe pas).