Un contraste saisissant entre une vitrine moderne des années 1970 et un intérieur avec les vieilles étagères en bois d’une pharmacie du début du siècle dernier.Si la rue Montorgueil devait se réclamer d’une spécialité, un comptage ferait ressortir, en tête, les pharmacies, elles y sont 5 sur 300 mètres, belle…