Cela me fait toujours drôle de penser que Baudelaire a séjourné un temps au 33 rue Lamartine. On né peut pas dire aujourd’hui que ce bar-tabac soit un haut lieu de raffinement et poésie. La tenancière est une «gueularde». Mais peut-être est-ce un moyen de se faire respecter? Il faut dire qu’elle doit gérer…