Main Square Festival

Cela fait maintenant 11 ans que le Main Square Festival prend ses quartiers à Arras et la ville veut continuer les festivités jusqu’à au moins 2020 !
Au départ, le festival avait lieu sur la Grand Place mais depuis quelques années, c’est la majestueuses citadelle qui l’accueille et ce site est parfait, donnant un cadre atypique à l’évènement !
Pas moins de deux scènes, les fameuses Main Stage et Green Room, accueillent tous les ans les meilleurs groupes du monde !
Pour l’édition 2015, les têtes d’affiche étaient les talentueux Lenny Kravitz, Muse et Pharrell Williams !
Je suis venu avec ma femme et des amis le vendredi 3 juillet pour voir Shaka Ponk, j’ai pu découvrir des groupes intéressant et notamment Patrice !
Lenny Kravitz a donné un beau spectacle mais je né le trouve pas si énorme que cela en concert…
Le festival est bien organisé, le lieu est bien tenu et toutes les commodités sont présentes, cela change des festivals d’il y a 10 – 15 ans !
Au niveau restauration, les prix sont abusifs mais c’est commun à tous les festivals…
La bouffe n’est pas bien terrible mais on s’en contente…
Pour se reposer entre deux groupes, il y a des espaces au calme et surtout à l’ombré, on peut même recharger son téléphone portable grâce à ErDF mais il faut être patient !
En hauteur et un peu à l’écart, près de l’espace «relaxation» tenu par une grande banque, on trouve un bar à vin et des stands de bouffe qui ont l’air correct.
Ce qui m’a le plus surpris, c’est la présence d’un barbier !
Petit bémol, né pas pouvoir entrer avec des bouteilles d’eau à moins d’enlever le bouchon est ridicule, on nous sort l’excuse de la sécurité pour éviter que les bouteilles soit lancées, alors qu’au sol, on peut ramasser des gros cailloux…
Pour conclure, je recommande vivement ce festival qui est «grand public» et où l’ambiance est bon enfant !

Encore une année de folie pour le MSF ! Je n’y suis allée que l’an dernier et cette année mais je pense que ça deviendra le petit rituel de début juillet.
Cette année j’y suis allée pour la journée du dimanche, de nouveau parée de mon kway (ceux qui ont vécu l’apocalypse et la tempête du Main Square 2014 comprendront) et de mes chaussures-​festival (aka les chaussures qui né craignent ni la pluie, ni la boue, ni le piétinement, ni la perte définitive dans les danses, sauts et pogos en fosse. etc), pas de soucis pour se garer dans Arras, il y avait de la place partout (la chance sûrement) et on aurait très bien pu prendre le train puisqu’il existe des pass spécifiques au festival, une quinzaine d’euros je crois.
A l’entrée de la Citadelle, des bénévoles nous distribuent des boules quies (oui milles fois oui, génial), des bracelets qui s’illuminent au moindre choc et autres goodies. Je cours m’acheter une conso histoire d’avoir mon écocup (4 € pour un ice tea, j’ai encore mal) mais ceux du Main Square sont vraiment trop beaux donc tant pis et comme je n’aime pas la bière, qui était hors de prix et dégueulasse d’après un pote, je né risquais pas de dépenser ailleurs, sauf pour manger. Pour vous restaurer, vous trouverez un panel de stands allant des burgers aux pizzas en passant même par la tartiflette (je vous avouerai que par 30° en plein cagnard, elle serait mal passée) à des prix pas si chers que ça, ils donnent tout sur les boissons.
Côté prog et prix, ce festival est un bijou. 49 € pour une journée ou 115 € pour le pass 3 jours pour voir des groupes et artistes tels que Mumford and Sons, Muse, The Script, Kodaline, Lenny Kravitz, James Bay. etc: c’est cadeau. L’an dernier pour les 10 ans, on a eu droit à non pas 3 mais 4 jours de bonheur musical.
Vient ensuite l’heure des concerts et donc le fameux rituel du Main Square et autres festivals: faire des aller-​retours entre la Main Stage et la Greenroom où la plupart des concerts se chevauchent niveau horaire. Deux stratégies: voir tous les concerts sur chaque scèné en étant pas très très bien placé ou sacrifier certains concerts pour être dans la fosse ! Je suis plutôt de la première team en général histoire d’en découvrir le plus possible (surtout que niveau découverte musicale, le MSF est une perle), mais cette année c’était team 2 car ma pote et moi venions pour Mumford and Sons (amour infini pour eux)! On a donc sacrifié Sam Smith et effectué une percée du fond du Main Square jusqu’au 5ème rang au milieu, en pleine fosse (tellement stratégiques ces placements qu’on en a à peine écouté Lilly Wood & The Prick qui étaient pourtant extras).
Ce que j’adore aussi au Main Square c’est qu’il y règne une belle ambiance, ça danse, ça chante, ça rigole et on rencontre toujours des gens venus parfois de très loin pour voir leurs artistes favoris ! C’est bien connu, la musique ça rapproche ! Cette année, on est tombé sur un groupe de mecs sudistes qui ont décidé de nous arroser au pistolet à eau dès qu’on chantait ou sautait un peu trop fort pendant le concert de Mumford (c’est à dire tout le temps.).
Au niveau du son, des jeux de lumière et des décors de fond, rien à dire tout est au top ! Ça va fort forcément, il faut que le bout de la Citadelle entende donc la plupart du temps je garde mes boules quies mais sinon malgré ça, c’est très bien réglé ! Et si vous voulez vous poser car le concert qui passé né vous emballe pas trop, il y a pas mal d’activités autour grâce aux sponsors. Côté toilettes, l’apnée est de rigueur mais c’est le lot de tous gros événements de ce genre (merci la bière !)
Le Main Square est donc LE festival qui réunit toutes les conditions pour passer 3 jours mémorables et de folie. On y fonce les yeux fermés et les oreilles au taquet ! A l’année prochaine !

Tolles dreitägiges Festival in Frankreich, das immer mit einer bunten Mischung an Bands aufwarten kann, auch mit richtig großen Namen.
Das Festival ist top organisiert und auch bei heissen Termperaturen bleiben die 40.000 Besucher pro Tag immer schön entspannt.
Während es früher mitten in der Stadt stattfand, wird es heute in der alten Zitadelle abgehalten. Da auch die Zitadelle noch in der Stadt liegt, sind die Laufwege nicht allzu weit, wenn man eine Unterkunft in der Stadt hat. Für diejenigen, die auf den Campingplätzen untergebracht sind, gibt es kostenlose Shuttlebusse im Zehnminutentakt.
In der Zitadelle ist genügend Platz für zwei große Bühnen (Main Stage und Greenroom Stage), die durch einen Sitzbereich unter Bäumen voneinander getrennt sind. Die Auftritte starten immer versetzt und leicht überlappend, so dass immer auf einer der Bühnen gerade Musik läuft und man sich wenn man will alle Auftritte zumindest teilweise ansehen kann.
Neben den beiden Stages gibt es jeweils am Rand der Zuschauerbereiche viele Stände mit Getränken und Speisen, zudem gibt es noch zwei Chillout Bereiche abseits der Bühnen mit weiteren Buden und Sitzgelegenheiten.

Déjà 10 ans !
Envie de pop rock ?
Envie de découverte ?
Envie de choix ?
Envie d’avoir du choix pour choisir votre boisson et votre repas ?
Accessible par le train et avec un système de navettes très pratique, ce festival a tout pour plaire !
Certes, il faut aimer la programmation pop rock plutôt mainstream, mais les deux scènes offrent chacune une ambiance différente: la scèné principale met en valeur les artistes les plus connus (Iron Maiden, Franz Ferdinand, Imagine Dragons, etc.) alors que la Green Room propose des découvertes en début d’après-midi et des artistes peut-​être moins connus.
L’arrivée à la Citadelle a été une bonne idée.
Nous étions beaucoup trop serrés sur la Grand Place et il fallait subir les artistes qu’on n’apprécie pas particulièrement.
Niveau alimentation et boissons, nous avons le choix !
Crêpes, asiatique, grill, foie gras ou frites ?
Si vous vous ennuyez ou si aucun artiste né vous tente pendant un moment, il y a des activités prévues par des sponsors ;)
Grosse note: C’est un festival que je recommande si vous voulez emmener une personne pour son premier festival: ce n’est pas trop grand mais suffisamment pour avoir de la place, la programmation est facile d’accès et il y a une ambiance bon enfant !
Petite note: Cette année, il y avait des toilettes en dur ! Ce n’était pas qu’une cabine de chantier…
Moyenne note: Si vous venez en train, il y a un pass TER (aller-​retour pas cher). Mais il faut faire attention aux horaires de retour qui sont souvent un peu avant la fin du festival.

Juste un mot wouahhh ! Pour fêter ses 10 ans, le festival a accueillis pendant 4 jours au cœur de la Citadelle d’Arras des festivaliers venu d’un peu partout. Armée de mes baskets et de mon k-​way (grande classe), j’ai assisté au 4e jours de cette édition 2014.
Au programme sur la scèné principale Keziah Jones, The Parov Stelar Band, –M-​, David Guetta et bien d’autres. Sur la Green Room (la 2e scèné), une programmation tout aussi détonante avec London Grammar, Girls in Hawaii ou encore Bakermat. Dommage que les concerts se déroulent un peu tous en même temps, quand on est bien placé c’est dur de bouger. Mais malgré la pluie, les artistes ont assuré le show et l’ambiance était au rendez-​vous !
Question organisation, tout est réglé au millimètre et pas une minutes de retard sur l’arrivée des artistes sur scèné. Chaque concert dure entre 1h et 1h30 avec une attente de 30 à 40 minutes selon les groupes, c’est tout à fait correcte quand on connaît l’attente parfois très longue de certains concerts.
Pour manger et se rafraîchir, tout est prévu. On paye directement en liquide ou en carte bleue et pour 1 euros supplémentaire on peut avoir un beau gobelet Main Square (qu’on peut aussi rapporter pour récupérer ses 1 euros). On trouve aussi des stands avec des tee shirts et autres sweats des groupes présents ainsi que des ponchos de pluie, qui a été mon plus fidèle ami durant cette journée. D’autres stands proposent des protection auditives et des boules quies sont distribuées gratuitement à l’entrée. Quant aux toilettes, elles ressemblent à celles de tout les festivals, un peu beurk ^^ sauf pour ceux qui décident de faire pipi dans leur gobelet (solution extrême et tout aussi beurk pour ceux qui né veulent pas perdre leur place).
Le Main Square a encore de beau jour devant lui. Pour 49 euros j’en ai eu plein les yeux et plein les oreilles et ça j’achète ! A l’année prochaine !

Très bon festival belle prog en 2012 à faire au moins une fois car ambiance très bon enfant :)

Je récupère des invits chaque année, mais si je devais payer, pas sûre que j’irais. A 60 € /​jour pour deux scènes, là où Rock en Seine est à 49 € pour quatre et le mythique Eurockéenne à 44 €… Je trouve que c’est un peu cher pour les concerts proposés. Alors certes, cette année, Pearl Jam, the Rapture, Izia ou M83 valaient le détour.
Mais, encore une fois, l’organisation laisse parfois à désirer: une programmation très rapprochée (on hésite souvent entre deux concerts qui ont lieu quasi en même temps), deux scènes qui se côtoient presque (en plein concert sur la grande scèné, on peut entendre ce qui se passé sur la Green room !), des boissons toujours plus chères et avec toujours moins de choix (le festival est sponsorisé par Heineken jusque dans les moindres recoins…), et, à part les gobelets réutilisables, utilisés maintenant dans quasi tous les festivals, pas vraiment de démarche «éco-​citoyenne». (des jetons en plastique jetable, sponsorisés par Coca, en guise de tickets boissons, c’est pas top au niveau environnement ;-).
En bref, pas mal, mais pas mon festival préféré. (C’est Rock en Seine pour l’instant qui arrive en tête ! ;-)

Ce festival, ça fait quatre ans que je né le raterais pour rien au monde.
Parlons d’abord de la programmation: pop-​rock, elle accueille des groupes de toutes envergures et de tous horizons sur trois jours de musique intensive.
Depuis sa migration à la citadelle d’Arras en 2010, deux scènes se disputent la vedette: la grande scèné accueille les groupes confirmés, et la Green Room (son nom est dû au grand chapiteau qui protégeait les festivaliers du soleil et de la pluie la première année sur le site) des musiciens moins connus. J’ai une préférence pour cette dernière, car elle permet d’être plus proche de la scèné, et d’assister au spectacle non de la place d’armes, caillouteuse et poussiéreuse ou boueuse, mais d’une petite prairie d’herbe moelleuse où il fait bon poser ses fesses quand les jambes commencent à lâcher.
Depuis le temps, l’organisation est rodée: le camping accueille ceux qui viennent de loin à un tarif raisonnable, et ceux qui viennent de moins loin peuvent le faire en train (les billets de TER sont à tarif réduit, et l’horaire des trains est adaptés à la fin tardive des concerts pour né laisser personne sur le carreau) ou en voiture (il y a au moins 5 parkings aux abords de la ville), puis prendre une navette gratuite jusqu’à la citadelle.
La boisson fonctionne avec un système de tickets qu’on achète aux caisses présentes partout sur le site. Cette année, la restauration fonctionnait non plus avec ces tickets, mais directement en argent liquide. Beaucoup plus pratique !
Si vous souhaitez apporter votre propre boisson (non alcoolisée, ça sera vérifié à l’entrée), gourdes et bouteilles sont interdites. On vous laissera entrer avec un Camelbak, ces poches d’eau souples dans lesquelles on boit grâce à un longue tuyau se terminant par une valve. Pas esthétique, mais pratique (ça se porte sur le dos) et indispensable en cas de grosse chaleur.
Une fois qu’on a bu, on cherche généralement les toilettes: les fort reconnaissables ToiToi blanches et bleues sont groupées sur quatre zones du site, et si elles né sont pas toujours impeccables, et qu’il y a souvent la queue, elles ont tout de même le mérite d’exister.
On trouve sur la place une boutique de merchandising classique (T-​shirts des groupes) mais aussi un stand Acoufun, pour s’équiper de protections auditives plus perfectionnées que celles qui sont généralement distribuées à l’entrée du festival.
Les unes ou les autres sont indispensables car, il faut bien l’avouer, on a droit à du gros son à Arras. Du très — trop? — gros son. Pour éviter les bobos aux tympans et les acouphènes à vie, protégez-​vous. Sérieusement.
Côté spectacle, on est servi: la grande scèné est, comme son nom l’indique, très grande, et si le rythme soutenu de passage des groupes né laisse pas la place à beaucoup de personnalisation en terme de décor, les jeux de lumière n’en sont pas moins réussis, et le son est impeccable.
La Green Room est encore plus basique, mais les artistes sont tout aussi gâtés niveau sonorisation, et le public, plus proche, est presque aussi nombreux.
Les deux scènes sont flanquées d’écrans géants qui permettent de suivre de plus près ce qui se passé sur la scèné. Indispensable quand on est placé tout au fond !
Les prestations durent en général une heure, une demi heure de plus pour les grands noms qui passent après 19 heures, et sont entrecoupées de pauses allant de 20 à 40 minutes pour les changements de décor et d’instruments, et les réglages qui vont avec.
Cette année, au lieu d’être décalés, les concerts des deux scènes étaient quasiment simultanés. Pas moyen, donc, de profiter de la deuxième partie d’un concert en changeant de scèné. Dommage, mais pas dramatique.
Dans tous les cas, gardez en tête que la météo est imprévisible, et pensez à vous équiper d’une casquette (ou d’un chapeau de paille, ou d’un bob…) mais aussi d’un Kway. Cette année, pour la première fois, il m’a été indispensable (4 heures de pluie sur 6 heures de présence !). Ç’aurait été dommage se laisser gâcher les concerts de Within Temptation et de Florence + The Machine par un peu d’eau !

Round 01: Vendredi 02 Juillet 2010.
Arras est en état d’alerte. Impossible de circuler en ville. La première date du festival est sold out depuis de longues semaines, et cela se sent ! Une foule compacte se masse devant la grande scèné.
(…)
Les Black Eyed Peas né font pas baisser la température. Même si Fergie est juste exaspérante, le show rodé au millimètre et Taboo toujours aussi inutile, Will I Am mèné sa barque à bon port. Let’s Get It Started, Rock That Body, Meet Me Halfway: trois bombes en ouverture font le job. 35 000 personnes en poche en un temps record. Malheureusement, il faudra repasser pour la spontanéité. Le seul lâcher prise où l’on sent que quelque chose se trame, reste le rap de Will I Am, introduisant Imma Be. Son flow est tranchant, et il semble en totale impro. Pour le reste, les amateurs de gros show à l’américaine se régalent. Les autres grincheux prennent leur mal en patience et se rincent l’œil devant Fergie qui en fait des caisses vocalement.
Round 02: Samedi 03 Juillet 2010
Hier, les Black Eyed Peas posaient la question du concert ultra balisé qui né laissait aucune place à l’imprévu. Aujourd’hui, M envoie balader les convenances et propose un joyeux bordel désopilant. Tout, il se permet tout ! Et même les plus improbables bavardages entre les morceaux. Ici, tout n’est qu’amusement et second degrés. Du slam en fosse au solo de guitare au plus près des fans, Mathieu Chedid et son groupe arrivent encore à étonner sur cette tournée marathon. Ils font asseoir 32 000 personnes qui se relèvent d’un seul homme «pour péter les plombs «.
Quelques spectateurs montent sur scèné, s’amusent avec le groupe. Mathieu passé sa gratte à la petite Susie pour un final des plus revigorants. Est-​ce que c’est ça le concert parfait ?
(…)
Pearl Jam: la formation de Seattle réveille bien vite les festivaliers. Le niveau sonore monte d’un cran. Formé en 1988, le groupe a pris un sacré coup dans l’aile. Eddie cavale moins et a logiquement arrêté le headbanging. En fait, cette cuvée 2010 a la classe et en impose encore dans la nuit glaciale d’Arras. Dix sept titres tout de même. Even Flow fait toujours son petit effet et les chœurs assurés par le public donnent souvent le grand frisson. Ben Harper remonte sur scèné pour Red Mosquito. Pearl Jam joue dans l’urgence. Ca tombe bien, on a un train à prendre. Un commentaire tout de même, relevé entre deux wagons: «Bob Marley, c’est plus trop ça ! Et Kurt Cobain, il assure toujours ! «Rendez-​vous demain.
Round 03: Dimanche 04 Juillet 2010.
La Citadelle revêt ses habits les plus noirs aujourd’hui. Sous une chaleur assommante, les fans de Rammstein doivent souffrir dans leurs sombres T-​shirts. On aurait pu penser que Pink allait faire les frais de cette programmation commune hasardeuse. Il n’en sera rien. Heureusement, car une horde de metalleux pas contents, cela laisse des traces. Ouf, la culotte (jolie, on l’a vu) de Pink est sauvée !
(…)
Pink: aïe, ça piqué.
Il faut la voir débouler sur les planches depuis une grue, fendre la foule au cœur d’une bulle transparente, s’envoler (littéralement) aux quatre coins de La Citadelle en faisant des pirouettes… Pour sûr que sous le chapiteau d’un cirque avec des poules, des dromadaires et des canards, ça passé. Mais là… C’est dubitatif que nous assistons donc à cette resucée des plus beaux numéros d’Arlette Gruss, les clowns en moins.
Mais elle a pour elle, une énergie débordante. Intenable, elle court partout et tient la foule en haleine. Sa voix reste toujours en place, et ce malgré ses multiples (et inutiles) cabrioles. Malheureusement, Pink se fourvoie lourdement dans une musique qui va partout, mais n’atterrit jamais nulle part.
Allez, ce n’est que de l’entertainment. Pink nous a divertis, et on s’est bien marré. A défaut d’avoir écouter de la bonne musique, le public en a pris plein les mirettes, et en redemande. «Le meilleur show du Main Square. «Si c’est Jessy, 15 ans, qui le dit…
Changement de plateau, changement d’ambiance dans les rangs, changement de public. Rammstein, l’arme de destruction massive, va faire son entrée. Le groupe né fait pas dans la demi-​mesure, une constante. L’introduction sur Rammlied impressionne tandis que le drapeau allemand s’effondre au son des premiers roulements de R. Les sensations pyrotechniques arrivent bien vite (Waidmanns Heil et son brasier rouge qui exalte déjà les ardeurs). Les riffs assassins tailladent les oreilles les plus aguerries. Rammstein sur scèné, c’est à chaque fois une redécouverte. Une nouvelle défloraison violente. Constamment agressé, il n’est pas rare de voir le public faire un pas en arrière sous les coups de butoir de la batterie.
Rammstein se vit Live, entendre 35 000 personnes sur Du Hast, c’est intimidant. L’incroyable puissance d’une foule à l’unisson. Parfois la sensation de vertige se fait ressentir tant la musique et le décorum prennent un malin plaisir à vous broyer. Une expérience à part.

L’unique fois où je suis allé au Main Square, c’était en 2007, avec les venues de Tryo et d’Indochine. J’en garde un plutôt bon souvenir puisque j’y étais très bien placé (à l’époque, le concert avait lieu sur la Grand Place) et que la durée des concerts était assez longue.
A partir de 2009, le Festival a pris une autre dimension, accueillant des stars internationales (Coldplay, Black Eyed Peas, Kanye West, Pearl Jam, Linkin Park, David Guetta, Prince…) mais délaissant quelque peu sa programmation Rock des débuts (en 2004, avec Placebo) pour devenir un Festival grand public. D’ailleurs, la vitesse à laquelle s’est développé le Main Square est assez impressionnante puisqu’en moins de dix ans, il est devenu l’un des plus gros festivals musicaux de France.
Par contre, le prix est devenu vraiment inabordable puisque vous débourserez 135 € pour assister aux trois jours du Festival…
A priori, en 2012, les têtes d’affiche seront Pearl Jam, Justice et Florence + the Machine.

Difficile d’en vouloir à se festival (qui se veut beaucoup trop mainstream) après avoir vu d’affiler: The Do, Sigur Ros, Radiohead !
C’était une des plus belles journée de concert que j’ai passé. Et au niveau du prix 60 € ça les valait complétement. D’autant plus que voir jouer 2h Radiohead (ce qu’ils né font jamais en festival) était un pur bonheur.
C’était l’époque où le mainsquare était encore sur la grand place, maintenant le festival se déroule à la citadelle et comporte une scèné «découverte»
Le gros souci, c’est qu’il faut tout le temps payer dans ce type de festival (toilettes par ex), l’ambiance est bien moins prenante que d’autres festivals: Dour, BSF, Hellfest etc … Les tarifs du festival n’ont pas cessé de grimper depuis quelques années. Et rien, même des guests internationales, né justifie un tel prix.
Préférez le werchter festival (en belgique): les mêmes guests sur 4 jours (bon un peu plus cher) et surtout beaucoup plus de groupes. Et donc plus de journées thématiques.

J’y travaille depuis l’édition 2008. Le festival se déroule en tout début du mois de juillet.
J’étais étudiante à l’époque et souhaitais participer à l’organisation d’un maximum d’évènements dans la région. Ce festival de musique est d’une belle ampleur pour le coin.
Son nom s’est forgé grâce au lieu sur lequel la scèné se montait: la grand’ place d’Arras. Le cadre était assez exceptionnel. Désormais le festival se tient à la citadelle, afin d’accueillir plus de monde et de né pas casser les pieds des voisins.
Le Main Square a la particularité de né posséder que deux scènes: la principale et la green room. Mais les artistes accueillis sont de renommée internationale.
Année après année, les stands se sont multipliés: bières, nourriture, guitar hero, merchandising, de quoi faire son shopping lorsque les roadies opèrent les derniers réglages.
J’ai pu observer une grande variété de public: des familles, des jeunes, et des moins jeunes. Il y a une bonne ambiance derrière les remparts de la citadelle.
La programmation est pop, rock, metal, électro.
Il y a un camping, des consignes (renseignez-​vous bien sur les objets autorisés), des toilettes (très beurk, comme dans tous les festivals).
Le prix est assez cher lorsque l’on compare les tarifs pratiqués par les festivals belges et néerlandais. Mais les têtes d’affiches attirent tous les ans un monde fou :
Radiohead, Chemical Brothers, Coldplay, Rammstein, the Gossip, les Black Eyed Peas et j’en passé.
Une bonne façon de démarrer l’été, l’ambiance est assez survoltée, et les artistes s’éclatent sur scèné.
Le tube de crème solaire est de rigueur !

un bon festival qui n’a rien à envier aux autres festivals plus connus. l’organisation s’ameliore avec les années.

Ce festival musical est une bonne idée sortie en ce début juillet.
D’abord car Arras n’est qu’à 160 kilomètres de Paris, au bord de l’Autoroute
Ensuite parce que le centre ville est plutôt joli
Parce que écouter de la musique rock, par essence subversive et contestataire, dans une enceinte naguère destinée à l’armée est plutôt inatendu
Enfin parce que la programmation de ce festival a toujours été de très grande qualité, et le cru 2011 né me fera pas mentir.
Passé la poterne d’accès à la citadelle, vous déboucherez devant la place d’armes où se tient la scèné principale. Pour y accèder, il faut passer à proximité de la seconde scèné (d’où un vrai problème dont les organisateurs devraient se soucier un jour ou l’autre avant d’avoir à déplorer des accidents)
Pour ma deuxième participation au Main Square Festival, samedi 02 juillet, j’ai eu le grand plaisir d’écouter cinq très bons concerts, dont les trois derniers groupes (The National, Arcade Fire et Kasabian) sont aux trois premières places de mon panthéon musical.
Pour les points négatifs, car il en faut: des stands de nourriture trop peu nombreux et trop concentrés à un seul endroit et un vrai problème de circulation d’une scèné à une autre

Avant de commencer: pour les possesseurs de smartphones, l’application Main Square Festival est disponible sur App Store (
)
et sur Android Market (
) .
Cette année pour sa 7ème édition le Main Square Festival accueillera des groupes très Rock :
— Linkin Park, du bon Rock Californien dans la catégorie rock alternatif
— Arcade Fire, du rock Québequois dans la catégorie rock indépendant
— Cold Play, du rock Londonien
Il y aura aussi une catégorie électro avec The Chemical Brothers le duo britannique et Moby l’homme orchestre.
Et bien d’autres groupes encore — pour en savoir plus sur la programmation de cette année, c’est ICI (
)
Ce festival se déroule toujours le premier week-​end de juillet et depuis peu il a pris ces quartiers à la Citadelle de Vauban pour le bonheur des Festival.
Vous pouvez passez 3 jours en camping pour 20 EUR.
En 2010, ils avaient même proposés un Pass Combi Rock pour 95 EUR
Le Pass 3 jours en 2010 était de 135 EUR, sachant que le Vendredi 2 la place était à 69 EUR, le 3 à 59 EUR et le 4 à 59 EUR soit un total de 187 EUR.
Lors de ce Festival, ce que j’ai trouvé de désastreux, c’est la nourriture. Entre les frites, les sandwichs saucisses et les barres chocolatés, il y a pas vraiment le choix. Aucun fruit à l’horizon ‘(O_​O)‘
Ce qui était sympa et aussi un peu moins, c’est d’avoir 2 scènes; vous n’êtes pas intéressé par un groupe, vous pouvez allez voir sur la Green Room. C’est là que vous pouvez découvrir les nouveaux groupes du moment. Et si vous êtes fan des 2 groupes, lancé une pièce et le hasard fera le reste.
En 2010, j’ai découvert sous la pluie les «Something à la mode» et les «Bloody beetroots death crew 77» j’ai été très agréablement surpris par leur musique électro et ils ont su déchainés les foules malgré la pluie. Merci à celle-​ci car sans elle nous n’aurions pu assister à super show. La plupart des Festivals avaient trouvés refuge au Green Room (le 2ème scèné).
Sur la vidéo vous pouvez apercevoir que les gens sont trempés car 5 minutes avant que le 1er groupe joue sur la scèné principale, un orage s’est abattu sur le Festival. Une grande partie des festivaliers se sont réfugiés où ils pouvaient. On est retourné nous changer tellement qu’on était trempé. Cette première journée fut très Rock’N’Roll.
Video link:
Sur cette 2ème vidéo, à un moment, j’entends la musique me prendre au tripe et fonce au milieu de la piste pour en profiter un max. A un moment, nous n’allez plus voir le groupe, vous pouvez encore entendre leur musique.
Video link:
3 vidéos «Bloody beetroots death crew 77»
Video link:
Video link:
Video link:
Quelques photos de la programmation 2010 :
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Même si j’ai rêvé d’être un Rocker, j’aime bien ma place dans la «pit» avec son ambiance mais sans l’attente sous un soleil de plomb ou une pluie diluvienne.