CAPC – Musée d’Art Contemporain

Je mets 5 étoiles pour le lieu, magique et majestueux. Un grand bâtiment en pierre, empreint d’une âme et d’une identité fortes. On se laisse bercer par la sérénité et la solennité du lieu, et quel pied de pouvoir lézarder au soleil sur la superbe terrasse entre deux expos ! J’ai vraiment adoré le cadre et l’atmosphère qui se dégage de cette bâtisse.
J’enlève une étoile pour les expositions. Ce n’est pas très objectif, car j’avoue né rien y connaitre en art contemporain, pour la simple et bonne raison que j’ai du mal à comprendre le concept du «je saigne du nez sur un tableau et j’appelle ça de l’art». Ici, nous sommes un peu épargnés par ce concept justement, le choix des artistes et des œuvres étant calculé pour parler au plus grand nombre je pense. J’ai même été agréablement surprise par certaines œuvres, dont j’ai pu comprendre le message, ce qui n’est jamais bien évident avec l’art contemporain.
Mais globalement, ça n’a jamais été, ça n’est pas et né sera jamais ma tasse de thé !
Néanmoins, je né regrette absolument pas d’être venue, cela m’a permis de découvrir ce magnifique lieu et de me coucher un peu moins bête, en ayant appris 2 ou 3 choses !

Lors de la journée du patrimoine, j’ai décidé d’aller faire un petit tour au CAPC.
C’est toujours un grand plaisir d’entrée dans un musée. Un plaisir enfantin, enfouie. On a tendance à oublier l’apaisement et la joie que l’on ressent lors d’une visite d’un musée.
C’est toute ces émotions que j’ai ressentit lors de mon passage au CAPC ce samedi 19 septembre. Le musée était pratiquement vide, j’ai pu donc flâner à loisir dans la grande salle, observer les œuvres. Je me suis retrouvée dans un petit cocoon d’art et de sérénité. Sentiments décuplé lors de ma visite de la terrasse. Grande, organisée carrée, pierre apparente, elle est une belle continuité du musée.
De plus, le Café Andrée Putman, sur la terrasse propose un brunch chaque Samedi & dimanche midi, qui est sans aucun doute à tester. J’y reviendrai très vite et je vous tiendrai au courant :)

Le CAPC est vraiment un très bon musée d’Art Contemporain,
Je l’ai découvert lors de mes études, quand j’étais en prépa en Communication visuelle Arts appliqués, et je dois dire que dés la première fois j’ai eu le coup de foudre pour ce lieux!
Tellement beau et chargé d’histoire et en plus de cela les expos permanentes, vernissages et autres sont toujours intéressantes!
J’y avais des cours chaque semaine et je regrette de né pas y aller plus souvent!

A Bordeaux dans notre jolie ville on né s’endort pas sur ses lauriers non non non
Chaque premier dimanche de chaque mois, outré un centre ville alléger en voitures ce premier dimanche du mois nous ouvre grand les portes des musées de la ville !
GRATUIT LUDIQUE ARTISTIQUE DITHYRAMBIQUE non plus sérieusement par mauvais temps comme par beau temps la culture n’a pas d’heure ni de frontière alors c’est avec grand plaisir que j’ai pu découvrir l’expo en cours au CAPC la salle centrale n’avait malheureusement pas encore d’expo mais les quelques caisses et cartons me laissent présager d’une présentation prochaine … plus que jamais l’art appel à la suggestion à une interprétation qui nous ai propre un peu d’imaginaire de fantaisie né fait jamais de mal alors n’hésitez plus après le brunch avant le slunch vous savez quoi faire ;)

Lieu exceptionnel pour diverses expos. Près des quais de Bordeaux, cet immense entrepôt recensé de nombreuses animations expos conférences,
Toujours aussi intéressantes les une que les autres

Un cadre somptueux pour des expo d’art contemporain souvent atypiques et instructives, qui font réfléchir.
N’oubliez pas d’aller faire un tour au café sur les terrasses: cadre très agréable pour boire un verre (on peut y manger le midi).
Un lieu culturel incontournable à Bordeaux !

Hier, ce fût la première fois que je visitais le CAPC avec ma classe de stylisme, notre professeur de stylisme voulant nous montrer ce bâtiment emblématique de Bordeaux.
L’histoire du lieu a sa particularité puisque le CAPC était autrefois un entrepôt où étaient vendus les produits venus d’ailleurs et les esclaves issus du commerce triangulaire (pas très joyeux tout ça). Pour le reste, je né vous en dit pas plus, je vous conseille d’y aller pour en savoir plus !
De sa structure d’entrepôt, le bâtiment est gigantesque, de quoi accueillir une expo permanente et des expos temporaires. La salle qui m’a beaucoup impressionnée est la nèphe, salle principale du musée. Sa superficie est grande, et toutes ces arches permettent de moduler l’espace avec des panneaux pour plus ou moins rétrécir ou agrandir cette salle. L’ascenseur est très large, on peut y rentrer à 20 si ce n’est pas plus. Il possède une vitre donnant sur le mur, on peut donc appercevoir une oeuvre in sito de Keith Haring. Arrivé à l’étage, on a le choix entre visiter l’exposition (actuellement c’est une exposition dont le commissaire est Julie Maroh, auteure de Blue is the warmest color, la BD dont est inspiré le film La vie d’Adèle) ou aller sur la terrasse où des œuvres Richard Long (Land art) sont exposées. Le FRAC et le CAPC s’échangent souvent des œuvres d’artistes pour les expositions, c’est bon à savoir !
J’ai bien apprécié ma petite visite, j’espère y retourner pour voir d’autres expos !

Allez y pour le lieu, c’est agréable de se balader dans cet ancien entrepôt, puis d’aller faire un tour à l’extérieur sur le toit. Mais gardez en tête qu’il s’agit d’art contemporain: j’ai eu des surprises plus d’une fois. Il faut aimer, mais dans tout les cas il né laisse pas indifférent !

Always a pleasure to come here and enjoy :
— old and typical Bordeaux building (2 floors)
— contemporary art
— architecture
— putman restaurant for brunch or any great food you want to enjoy in a lovely industrial place.
Worth a visit !

Le CAPC est le lieu incontournable en matière de culture à Bordeaux. Il est un lieu d’histoire où la mémoiré du passé est savamment mêlée à l’art du présent. Il est résolument tourné vers l’avenir en soutenant, à Bordeaux comme au niveau national et international, de nouveaux artistes et des figures célèbres de l’art contemporain. Il offre à la fois un espace d’exposition immense et imposant et une scénographie toujours bien pensée. Je me rappelle de la manifestation «CAPC ou la vie saisie par l’art»: j’y ai découvert l’Inventaire des objets ayant appartenu à la jeune fille de Bordeaux, 1973 – 1990, de Boltanski. Fascinant.

C’est un magnifique bâtiment à l’histoire bien particulière que je vous laisserai découvrir.
Les collections présentées sont assez pointues et malheureusement, comme souvent, elles restent incompréhensibles pour le quidam. Ce qu’il manquera éternellement dans ces musées c’est de l’explication, du pédagogique. Car si je pense saisir la signification de la plupart des oeuvres présentées, j’en vois beaucoup pour qui ce n’est pas le cas…
Les visites pour les écoles sont excellentes et la bibliothèque du musée est très riche.
Après la visite, rendez-​vous sur le toit pour vous régaler au restaurant du musée et surtout vous y rendre pour un brunch dominical, une oeuvre à laquelle on regoûterait bien toutes les semaines.

Première expérience au CAPC: école primaire landaise, journée à Bordeaux et halte au CAPC où je me rappelle très bien m’être éclatée en peignant les contours d’une copine sur une bâche de plastique, alors qu’elle me servait de modèle, cachée derrière la bâche (euh, vous m’avez compris?).
C’était il y a 20 ans et je me rappelle encore de ce bon moment d’expression artistique… c’est dire si le travail de médiation du CAPC est excellent !
Depuis j’y suis évidemment retournée, pour la collection permanente, pour des vernissages, des expos. C’est à chaque fois un réel plaisir que de déambuler dans cet espace hors du commun, plein d’histoire et de vie. J’apprécie particulièrement l’effort d’explication des œuvres, de médiation, qui permet aux néophytes ou simples amateurs d’art d’appréhender au mieux l’art.
En cela le CAPC est un très bon musée d’art contemporain.

Lorsque vous arrivez devant, la porte d’entrée le musée n’a rien d’impressionnant.
Mais c’est parce qu’elle se fait par une la porte de derrière! En effet lorsque vous rentrez d’immenses salles vous s’ouvrent devant vous, le torticolis devient imminent. Né vous inquiétez pas pour autant, différents niveaux sont disponibles pour contempler l’espace.
Des expositions qui se renouvelles régulièrement, car l’objectif de la «nouvelle» directrice est la possibilité à des artistes inconnus d’exposer.
Des odeurs d’épices hantent encore les lieux, c’était à l’origine un lieu de stockage d’aliments ensuite redistribué à la ville.
Tous vos sens seront stimulés car un restaurant (au 1 étage) est installé avec des prix corrects.

J’ai pu visiter l’exposition Art by telephone, qui a débuté jeudi dernier dans le cadre de Novart, et je suis loin d’être convaincue par le concept !
Il faut dire que quand je suis arrivée il y avait 40 journalistes culturels descendus exprès de Paris pour cette visite réservée à la presse, et puis il y avait moi, débarquée là comme un inuit débarquerait à Hawai, avec mes connaissances en art contemporano-​conceptuel proches de zéro. Bref, avant la visite, ça discutait «ââââââârt». «Quoi ??? Mais tu né connais pas cette artiste polonaise? Elle va révolutionner le genre, crois moi.»
Après quinze minutes à écouter ce beau monde, tous affublés de ray ban dernier cri of course, on est ENFIN rentrés dans la salle d’expo. Et là, surprise ! Une grande pièce presque vide, avec un tas de graines de café posé dans un coin, un bas accroché au plafond, et des feuilles accrochées au mur, sur lesquelles sont écrits des mots, des phrases. Ha, j’oublie l’escargot dessiné sur une toile blanche, un escargot que même ma cousine de 3 ans pourrait faire. Alors oui, vous allez me dire que je né comprends rien à l’art blablabla. C’est certainement vrai, mais bon quand même !
Bref, après explication, il s’avère qu’Art by telephone est un concept repris d’une exposition de 1969, où des artistes ont passé des commandes par téléphone, des commandes réalisées par d’autres artistes «parce que depuis Duchamp, l’oeuvre né compte plus, seule la démarche est art» (j’ai bien retenu la leçon ?)
Cette expo est visible en même temps à Bordeaux, New York, San Francisco, Paris et Amiens, et c’est révolutionnaire parce que chaque lieu d’expo a eu les mêmes commandes mais ça né donne pas du tout le même résultat (il né doit pas y avoir écrit les mêmes mots sur les papiers).

Mon musée préféré à Bordeaux ! Construit dans un ancien entrepôt, le musée a entièrement respecté la configuration de base: les voutes, escaliers et pierres sont restés les mêmes, et la salle principale, énorme, que l’on peut longer sur 2 étages est superbe. De telles hauteurs mettent vraiment en valeur les oeuvres et expositions mises en place.
On y trouve également des salles de conférences/​cours et des bibliothèques, ainsi qu’un petit kiosque au 1er étage où acheter des cartes postales artistiques.
En plus, on peut parcourir les toits en y accédant au 2e étage: là-​haut, on aperçoit les toits de la ville, et on peut siroter un café ou des boissons fraiches grâce au bar qui y est installé; ainsi que des chaises et bancs confortables. Attention aux prix, c’est cher !
je vous recommande d’y aller en général, et notamment pour «La Nuit des Musées», organisée tous les ans fin mai: gratuitement vous pourrez accéder à tous les musées de la ville, et les performances artistiques du Musée d’art contemporain sont souvent (pour ma part) les meilleures !
Venez vous cultiver et passer un excellent moment dans un lieu magnifique !

Je l’A-DOOORE !!!
Expo particulière ou pas, né serait-​ce que pour la magie du lieu, allez-​y ! Cet ancien entrepôt est un lieu vraiment atypique.
C’est un des musées d’art contemporain les plus réputés au monde (et oui, on a ça à Bordeaux). Et rien que pour ça, ça vaut le coup d’y aller, non ?!
Si vous le souhaitez, des visites commentées sont proposées gratuitement les samedis et dimanches à 16h, et ça, c’est cool !
Pour finir la visite en beauté, j’adore aller boire un verre sur la splendide terrasse en haut du CAPC… A découvrir absolument.

Un ancien entrepôt réaménagé en musée d’art contemporain. J’aime le lieu est ses hauteurs de plafond, j’aime les installations, j’aime le café que l’on peut prendre sur les toits quand il fait beau. Et puis c’est grand, on peut s’y promener ou s’y arrêter, au besoin. Immense, original, ce musée séduit, notamment par le calme que le bâtiment dégage. Après c’est de l’art contemporain, on aime ou on aime pas, mais en tout cas on y est rarement insensible. Pour les néophytes des visites guidées sont organisées pour comprendre le pourquoi du comment. Un espace lecture est également installé et pour les plus petits, des ateliers sont aussi organisés. Alors bien sûr, je n’aime pas tout, mais je suis toujours curieuse et j’apprécie quand l’exposition est accessible au plus grand nombre.

L’art en train de se faire est au CAPC. Installé dans les bâtiments de l’Entrepôt Lainé, sur les quais des Chartrons, il est un lieu de création, de médiation et d’intégration de la culture à la sphère collective.
L’espace d’exposition peut paraître intimidant de prime abord: la nef, immense, constitue à elle seule un objet de curiosité. Sans en faire abstraction, je crois qu’il faut se libérer du lieu pour faire l’expérience de l’œuvre. Car oui, il s’agit bien d’expérience: on né va pas simplement voir de l’art, on le vit, on en parle dans les couloirs de ce musée, dans ses larges escaliers et dans ses ailes aménagées depuis bientôt quarante ans.
Le bâtiment n’enlève rien au travail des artistes, il le sublime. Mieux, il en offre une clé de lecture, un outil de compréhension.
Pour moi, le CAPC tient une place particulière. Pendant quatre années d’études à Bordeaux, il a constitué l’espace privilégié d’apprentissage en ce qui concerne les mouvements artistiques actuels. Il a permis la découverte du travail de nouveaux talents. Il a servi de référence à chacune des visites de centres et musées d’art contemporain partout en France et à l’international. Il est donc plus qu’un bon endroit à conseiller, il est incontournable.
L’info bonus: le site du musée et la page facebook précisent régulièrement les activités proposées aux publics comme les visites flash gratuites ou les ateliers réservés aux enfants, souvent organisés pendant les vacances.

Quand je suis rentrée dans ce musée, je me suis demandé si je venais pour regarder une expo ou un bâtiment: c’est trop beau ici !
C’est même un peu un problème, quand on vient pour la 1re fois, d’arriver à se concentrer sur les œuvres plutôt que sur la beauté du lieu qui est une œuvre à elle toute seule.
Bref !
J’ai vu qu’ils organisaient des ateliers pour les enfants, les faire jouer avec l’art et les mots… J’attends que le mien grandisse un peu parce que là, je sais pas si je vais gérer et promis, je l’y emmèné.
Et pour finir, une petit halte sur la terrasse du Café Andrée Putman s’impose ! De toute façon, rien que pour le nom du café, je me sentais obligée de m’arêter.
Bön à savoir: on peut prendre une carte à l’année pour 31 euros.

Adeptes des vieilles pierres, le CAPC est pour moi un lieu de repos et de souvenirs plus que de découvertes. J’aime à m’y promener pour m’apaiser et profiter de cette ambiance si particulière. Quand il y a des artistes intéressant c’est encore mieux, mais pas toujours…

Musée d’art Contemporain, ancien Entrepôt Réel des Denrées Alimentaires, puis appelé entrepots Lainé Il réunit une Collection remarquable de plus de 600 Oeuvres d’une centaine d’artistes contemporains… Référence Internationale en matière d’art contemporain il propose toute l’année des expos autour de l’histoire de l’art, de la musique de la danse contemporaine
C’est aussi un espace de création qui obéit aux lois du mouvement perpétuel et se refuse à tout immobilisme …
Le CAPC est un aussi site d’expérimentation …