Ko-Ishi

C’est mieux qu’avant !
C’est bon et ludique.

Pour qui est nostalgique du Japon, l’odeur qui saisit vos narines en penetrant dans ko-​ishi a quelque chose d’exaltant. Cette odeur, c’est celle des restaurant japonais au Japon. Le bonheur né s’arrête pas là.
Ko-​Ishi respecte la tradition monomaniaque des restaurants japonais consitant à né proposer qu’un ou deux plats sur lesquels le chef travaillera toute sa vie durant pour essayer d’atteindre la perfection.
Chez Ko-​Ishi, ce sont les okonomiyaki! L’okonomiyaki est un plat populaire japonais a mi-​chemin entre une omelette et une pizza dont on aurait oublié la pâté, à base d’oeuf, de chou, de lamelles de porc grillé et de tout ce qui vous passé sous la main, badigeonné de mayonnaise japonaise et de flocons de bonite séchée parceque ça ondule sous l’effet de la chaleur et que c’est rigolo.
Présenté comme ça ça à l’air dégueu, mais c’est très bon! Et même très très bon quand c’est Christophe qui vous le prépare! Je né sais pas si Christophe a atteint la perfection, mais il est certain qu’il s’y emploie.
On né peut pas parler de ko-​ishi sans parler de la déco. Des shonen jump empilés, des canettes dragon ball z, Christophe va même jusqu’à nous servir à boire dans de vieux verres à moutarde à l’effigie de Cobra (si je me souviens bien). Bref, Christophe a grandi dans les annéea 80/​90, il s’est abreuvé de mangas et dessins animés japonais et il assume. Il en ressort une déco dont on né saurait dire si elle est belle ou pas belle, mais qui change des décorations traditionalo-​aseptisées que l’on nous sert généralement dans les restaurant japonais. Une déco qui est finalement très japonaise dans son côté grand n’importe quoi joyeux et puis… né dit-​on pas de Tokyo qu’elle est la plus belle des villes moches?

Nous sommes allés à Ko-​Ishi un vendredi soir, nous avons été un peu surpris quand nous avons vu la taille de l’intérieur, c’est vraiment minuscule ! Le patron, aussi cuisinier nous a super bien accueilli, c’était notre 1ere fois à essayer ces plats japonais alors d’abord il nous a tout bien expliqué, au menu: takoyaki (beignets, non frits, de poulpe ou crevette ou fromage), okonomiyaki (omelette japonaise à base de chou) et kalahagi (poulet frit servi avec des algues). Petit plus, l’intérieur étant petit nous pouvons voir le chef à l’oeuvre aux fourneaux ! Tout était délicieux, une découverte culinaire pour ma part, j’ai particulièrement aimé les takoyaki aux poulpe et mon okonomiyaki aux crevettes. L’endroit est sans prétention, très convivial et agréable dans l’ambiance «manga» avec des poster et des magazines jump ainsi qu’une borne d’arcade.
Les prix sont plus que corrects, 46 € pour 3 avec 4 takoyaki, des kalahagi, 3 okonomiyaki, 2 limonades japonaises et un thé. J’ai pris la carte fidélité ! J’espere y retourner bientôt.

Le Ko Ishi ça fait vraiment un moment que j’en entendais parler mais je n’avais pas encore réussi à y mettre les pieds.
Et puis aujourd’hui, miracle ! Avec des amis fans de japonais, on a pu s’attabler à cette petite adresse de la rue Sainte qui sent bon le fait maison.
Ici, pas de sushis, maki et cali mais des plats traditionnels: okonomyaki (sortes d’omelettes), onogiri (boulettes de riz fourrées, ici au saumon grillé), yakisoba (nouilles), takoyaki (petites boulettes frites fourrées au poulpe, à la crevette ou au fromage), korokké (croquettes de pommes de terre)…
Bref vous l’aurez compris, on né se la joue pas ici mais on mange bien et local !
À quatre, on a pu goûter un peu à tout et on s’est plutôt régalé. Coup de coeur pour les okonomyaki mais un peu déçue par les onigiris, le riz n’était pas assez vinaigré.
Et surtout, on a adoré le dessert, des chocoyaki, comme des takoyaki mais fourrés avec du chocolat et servis avec du sucre qui pétille. Retour en enfance garanti !
Gros plus, l’accueil nickel du propriétaire/​cuisinier, le côté petit échoppe et pour les grands enfants, le jeu à tester au fond de la salle ;)

Marseille m’a gavé, je viens d’atterrir à Tokyo
Putain de rêve je suis encore a Marseille
Laisse tomber les sushis, viens manger la vraie boustifaille de quartier comme on trouve au Japon.
2ème fois que je retrouve le vrai gout du Japon après tabi no yume sur marseille
Maitre savoureux dirait que c’est de la balle et il a raison, ce gaijin il assure à Max dans sa gargote nichée a la rue sainte
Gros coup de cœur
Yata!!!

素晴らしい(subarashii)!!! exceptionnel!!!
Le Japon actuel à portée de main! non pas le traditionnel décors évoquant les cérémonies de thé, la splendeur de l’art floral ou la calligraphie! NON! Alors pas de Sushis! Du Japon moderne, jeune, urbain, populaire. Sans tomber dans le côté Otaku (geek japonais) Ko-​ishi donne un ressenti de vie locale japonaise. Pour ma part, ayant vécu au Japon pendant près de deux ans à Osaka je retrouve (comme beaucoup d’autres clients ayant été expatrié) un sentiment de vie locale et un goût authentique. Les Okonomisyakis (お好み焼き) (crêpe-​omelette japonaise) et Takoyaki (たこ焼き) (boulette de pâte fourrée au poulpe, ou autre) tous deux issus de la ville d’Osaka nous laisse découvrir les saveurs de la street food japonaise! (j’ai dis street, pas junk food lol). Pour ma part le menu proposé est très accessible financièrement parlant et gustativement exceptionnel. Le cadre est petit mais très sympa, le chef est souriant et agréable, l’ambiance est conviviale. Bref un très bon resto Japonais qui se hisse parmi les meilleurs que je connaisse sur Marseille. Bonne découverte et dégustations à toutes et à tous.

Super petit resto !
Je suis allée y manger un midi par curiosité, et j’ai été très agréablement surprise. J’ai gouté des plats que je né connaissais pas, et qui m’ont bien plu. On y est très bien accueilli, le cuistot est très sympa, et l’ambiance conviviale. Le restaurant est tout petit, donc je pense qu’il vaut mieux réserver, j’y suis allée un mercredi midi et c’était plein. Je compte y retourner rapidement pour gouter le reste.

Quand on né connaît pas directement le japon (ce qui est mon cas), on finit par penser, si l’on se base sur les restos japonais qui ont ouvert à Marseille ces dernières années que très probablement les japonais mangent tous des sushis ! Et bien évidemment ce n’est pas le cas car si le poisson y a la part belle, beaucoup d’autres ingrédients, les algues, les champignons, les produits laitiers, le riz et le soja, les soupes et sans oublier bien sûr les viandes (poulet, porc, bœuf) contribuent à la notoriété de cette cuisine millénaire.
L’ouverture, il y a 6 mois, de la première crêperie japonaise à Marseille, le Ko-​Ishi, est donc venue rappeler fort opportunément cette vérité: la cuisine japonaise, ça n’est pas que le sushi ! J’ai découvert très récemment le Ko-​Ishi en compagnie de trois autres Unilocaleurs qui y avaient déjà leurs habitudes et qui m’ont expliqué, en compagnie du propriétaire, la composition des plats qui commencent à faire la réputation de la petite échoppe de la rue Sainte.
Je me suis laissé tenter par un okonomiyaki au fromage sur son lit de nouilles soba et j’ai vraiment été séduit par la découverte de cette crêpe japonaise contenant aussi du chou, du gingembre et de la bonite, si différente de tout ce qu’on peut trouver dans nos crêperies françaises. La prochaine fois, j’essaierai certainement les autre variantes des «oko», celles au poulpe, au bacon ou à la crevette notamment. J’ai aussi goûté d’une part à la soupe miso et d’autre part à une portion de takoyaki (beignet au poulpe) grâcieusement offerte par une Unilocaleuse et j’ai bien apprécié. J’ai accompagné ce repas d’une bière sapporo, très légère et, à la fin du repas, d’un incontournable petit verre de saké. Tout comme Léa, je n’ai par contre pas été transporté par mon déssert, une boulette blanche contenant une crème de sésame noir dans de la pâte de riz.
Deux mots encore, sur le lieu d’une part et le patron d’autre part. Le local est minuscule, on y trouve 6 places sur 2 tables murales et 6 places sur deux toutes petites tables. Les murs sont décorés de reproductions de mangas du talentueux Jérôme Alquié et on trouve dans un coin un pachislot, une borne d’arcade typiquement japonaise (voir
). Enfin, on né peut finir un avis sur cette échoppe sans évoquer le patron Christophe, surnommé le caillou (ko-​Ishi en japonais !). C’est un graphiste reconverti à la cuisine depuis 5 ans, fou amoureux de tous les pans de la culture japonaise, habillé à la japonaise et qui a fait son apprentissage de la cuisine japonaise auprès du chef Nokiyaki Shinbala. C’est aussi un grand tchatcheur qui prend grand plaisir à vous parler de sa cuisine, du japon, et de tout un tas d’autres choses. Certains le trouvent un peu envahissant, mais moi j’adore les passionnés !
Au final, le Ko-​Ishi est pour moi une sympathique nouvelle échoppe qui apporte encore un brin de diversité culinaire dans cette rue sainte (elle n’en manquait pourtant pas !) qui est vraiment devenue «la rue de la cuisine «de Marseille tant on y trouve de très bons et très variés restaurants. Je mets un bon quatre étoiles au Ko-​Ishi et j’espère que le chef va continuer à mettre sur sa carte de nouveaux plats de la grande cuisine japonaise dans les mois qui viennent !
Arigato Christophe, et comme l’a si bien dit avant moi la grande écrivaine Valérie Trierweiler: «Merci pour ce moment !»

Enfin un japonais qui né fait PAS de sushis, rien que ça, ça mérite 4 étoiles. Christophe est sympa et tape la discute sans problèmes et avec le sourire :)

Super bon plan !
Le resto est tout petit on se croirait dans une échoppe japonaise. Le patron cuisine à la minute pour ses clients et les okonomiyaki comme les teriyaki sont vraiment bons. Le petit plus des teriyakis, du gingembre à l’intérieur qui rehausse et pep’s le gout !
En plus on sent bien que tout est ultra frais !
Les onigiris étaient bons aussi, l’art du riz est maitrisé !!
En plus le resto est bourré de gadgets d’affiches manga et autres confiseries très japonaises mais tellement marrantes !
Bref, je né sais pas s’il faut dire à quel point on aime sous prétexte bientôt de né plus pouvoir rentrer tellement son succès sera fulgurant ! Il né faut rien changer surtout ! A bientôt ça c’est sur !!!

Mon coup de coeur !!!
Merci Alexandre C de m’avoir (enfin) fait découvrir ce lieu dont j’entends parler depuis quelques mois !
Ouvert les midi ainsi que le jeudi et vendredi soir, je teste un premier jeudi, et j’ai tellement adhéré que j’y suis retournée le jeudi suivant, et que je vais surement y retourner très rapidement !!
Alors effectivement c’est un tout petit lieu, tout mignon, très manga, bien coloré !
Le patron/​cuisto n’est pas japonais, par contre il est tellement sympathique qu’on se sent de suite très à l’aise dans ce lieu !
Né comprenant rien à la carte, il prend le temps de tout m’expliquer !
De même que les boissons disponibles, tout est très original pour nous occidentaux !
Alors j’ai testé le basique «okonomiyaki» au fromage ! Et là une tuerie !! c’est bien copieux en + ! Mais ca donne envie d’y revenir !
2eme fois, j’ai pris toujours un okonomiyaki, mais avec des nouilles soba (je sais plus le nom) et là une tuerie mais multiplié par mille !
Bref j’ai adoré !!!
Et je veux testé tout le reste de la carte, tout à l’air excellent !
La limonade en bouteille bizarre est très bonne. Il a un bon choix de bières japonaises.
Petit bémol sur les desserts auxquels j’ai moins adhéré, sauf pour le sucre pétillant qu’il ajoute ! Et là, pour les amateurs de sucre (comme moi), on peut également acheter des bonbons japonais … surprenant mais trop bien !!
Les tarifs sont corrects, on peut manger pour 10 – 20 euros !
Et je reviens sur le patron qui est tellement gentil, que TOUT dans ce lieu nous donne envie de revenir !!
Bref j’adhère !!!

Un petit restaurant à découvrir
Le Ko-​Ishi n’est pas un restaurant japonais comme les autres: ici pas de sushi et de maki mais une autre partie de la gastronomie japonaise que nous avons aimé découvrir. Des crêpes (okonomiyaki) et des boulettes japonaises (takoyaki) très bonnes et bon marché. On peut aussi goûter des boissons japonaises (limonades, bières,…). Le service est très agréable. La petite terrasse sur la rue Sainte joue son rôle, la déco à l’intérieure est sympathique avec sa borne d’arcade. Attention par contre ouverture le soir uniquement le jeudi et vendredi jusqu’à 21h30. Pour notre part nous renouvellerons l’expérience rapidement, la carte de fidélité va chauffer^^

Voilà maintenant quelques mois que ce restaurant est ouvert, et pour l’avoir presque suivi depuis son éclosion, permettez-​moi un petit avis sur ma cantine du jeudi soir.
«Chez Ko-​Ishi, pas de sushi» pourrait être le leitmotiv à double-​sens de cette petite vitrine de la fast-​food Japonaise. Oubliez les tubes fluorescents roses ou les serveurs vietnamiens, ici c’est un pur marseillais qui vous fait cuisine et service. Méfiez-​vous de ce type jeune et débutant, de la J-​Pop et de la déco mangas omniprésente. Un franchouillard en fringues traditionnelles? L’air de rien, il en connait sans doute plus que vous sur son affaire.
Son échoppe tente de recréer l’atmosphère doucement bordélique de ces cuisines de rue qui foisonnent en face de Vladivostok. Un petit local vite débordé, une carte minimaliste pour une cuisine faite à la commande — ok, sauf les onigiris, mais c’est sans doute pour simuler le charme d’un achat de flemme à 2h du mat’ dans un konbini.
La carte donc, se concentre sur 2 plats: Okonomiyakis et Takoyakis. Si vous venez manger autre chose, passez votre chemin.
Vous restez? Lâchez-​vous sur un oko aux poulpes, crevettes ou sur un lit de soba (my fav’). Accompagnez d’une boisson la plus cinglée possible, parmi la douzaine du frigo en self — mention spéciale à la limonade au système d’ouverture à percussion. Sinon, contentez-​vous de la carafe d’eau, car contrairement aux avis que j’ai pu lire, elle m’a été servie sans hésiter.
Après un Modanyaki, il est rare que j’ai encore faim. Mais la folie me porte parfois sur les Takos au chocolat, principalement, j’avoue, à cause des paillettes qui crépitent dans la bouche. Bravo, je suis ridicule *clap clap*.
De son propre aveu, le chef me dit que le soir est souvent plus tranquille pour lui. Aussi comme je n’y vais qu’à ces heures, mon expérience est sans doute faussée par rapport au midi.
Pour moi donc, l’expérience est idéale et récolte la note maximale, d’autant plus qu’elle est loin d’être ruineuse à environ 15 € pour un Oko, quatre Takos et une boisson, trio que je n’enchaîné que rarement. Sans compter les surprises…
Pour son premier mois d’existence, c’était soirée curry japonais. De temps en temps, de nouveaux ingrédients apparaissent sur les Okos, des légumes, du piment. Ce mois-​ci, le resto a enfin investi dans de la vaisselle digne de ce nom, et non les barquettes plastiques toutes nases qu’on pu tester quelques Unilocalers. On mange maintenant sur des plaques d’ardoise avec sa propre petite spatule en métal.
La semaine dernière, les Korokke au fromage ont fait leur apparition sur la carte. Pour combien de temps? Je n’en sais rien. C’est aussi ce qui me plaît en venant dans cet endroit: il règne un côté bancal et éphémère, propre aux petits business qui se défoncent pour vivre, dont on né sait s’ils seront encore là le mois prochain.
Je sors généralement repu, dans la fraîche et peu circulée rue Sainte, comme je descendrais Kitazawa un soir de fin de printemps, les pensées perdues dans la vanité des choses humaines.

Moi j’y retournerais chez Ko-​Ishi parce que j’ai trouvé ça très bon mais en hiver parce que, contrairement à mes collègues Unilocaleurs, j’ai trouvé ça trop copieux pour un snack d’été. Et encore j’avais partagé l’entrée et le dessert !
Alors j’y suis allée un soir c’est peut-​être pour ça que c’était plus copieux que le midi mais tout était très bon et très bien servi. Les takoyaki au poulpe en entrée, la crêpe-​omelette aux crevettes avec plein de bons trucs dedans et des chocoyaki en dessert, des boules de crêpe fourrées au chocolat (très bon donc très dangereux :)
Le tout arrosé d’une bonne bière japonaise car effectivement c’est un snack japonais avec plein de trucs étranges à tester dedans !
Côté accueil, le responsable a été super agréable et convivial et la petite terrasse est bien tranquille vu que la rue est quasi piétonne.
Alors oui, le coup de la carafe d’eau non fournie, je suis d’accord mais je pense que c’est la même dans les snacks marseillais et autres kebabs puisqu’on achète toujours de l’eau en bouteille ou des sodas. À vérifier !

Petit restaurant sympa, l’onomiyaki que j’y ai mangé était vraiment très bon. On y trouve des spécialités qu’on trouve difficilement ailleurs (okonomiyaki, takoyaki et onigiri) et tout est préparé la minute, de plus la dèco vous fera voyager dès l’entrée avec lanternes, magazines de manga (en japonais) et borne d’arcade! Il y a pas mal de choix notamment pour les boissons et les prix reste raisonnable (13 € pour un plat, un dessert et une bière c’est quand même rare!) Et en plus le cuistot est sympa et né manquera pas de vous expliquer comment il prépare ses plats si vous voulez tout savoir…
Un restaurant que je recommande vraiment mais à choisir quand il fait beau car la majorité des couverts sont à l’exterieur et il est conseillé d’arriver plutôt de bonne heure car il y a peu de tables.

En passant par la rue Sainte, la dernière à laquelle on s’attend est de tomber nez à nez avec ce bout de Japon.
En tant qu’amateur de la culture nippone, j’ai retrouvé dans ce snack tout l’esprit de l’archipel: petite taille, déco sobre et original, jeu d’arcade au fond de la salle (mon coup de cœur, j’avoue), pop japonaise en musique d’ambiance, et pour couronner le tout, le propriétaire est en tenu de chef japonais, dépaysement garanti!!!
Les plats proposés sont à découvrir: Okonomiyaki, Takoyaki et soupe miso, je vous invite à admirer les petits copeaux de ton séchés frétiller sur les Okonomiyaki, un spectacle surprenant!!!
Vous pouvez également déguster une multitude de bières est de sodas japonais aux saveurs exotiques!
Seul bémol, j’ai trouvé que ça manqué de consistance, pour 9,50 euro la crêpe je m’attendais à avoir l’estomac un minimum plein. Pour les gros mangeurs comme moi, un passage au MC Do du Veux Port est à prévoir!

Un concept original et dépaysant au milieu de la rue Sainte.
La déco y est très japonisante et le patron est d’ailleurs habillé en tenue traditionnelle !
Vous avez le choix entre des crêpes au fromage, au porc, aux crevettes ou aux nouilles sobbas et au lard. Les prix varient de 6 € 50 pour la plus simple au fromage a 9 € 50 pour celle aux nouilles et au lard. Vous y trouvez également de la soupe miso et des onigris.
Les crêpes japonaises ont en fait la consistance d’omelettes bien épaisses garnies de gingembre, de poireaux, de petits pois… Et recouverts de sauce soja. C’est vraiment bon mais un peu cher pour un snack, d’autant plus qu’en payant une crêpe 9 € 50 on s’attend a sortir de table bien repu et non pas en ayant encore faim comme ça a été le cas. Sans s’être lâché, on en a eu pour 23 € et cherichou avait encore faim alors oui c’était vraiment bon mais un peu plus copieux ça aurait été vraiment top!

Petit restaurant japonais dans l ‘esprit street food, mais riche en saveurs. Les Takoyaki sont délicieux ! Dépaysement garanti dans la rue Sainte ! A déguster sur place ou à emporter, avec le sourire du patron en prime ! Établissement à suivre.

Voici un second vrai japonais que je peux ajouter à ma liste.
J’y suis allée avec quelques amis sans savoir ce qu’il y avait au menu.
C’est un petit restau: un snack japonais appelé aussi crêperie japonaise.
Les plats sont un p’tit peu différent que l’on vienne le midi ou le soir.
J’ai tout goûté :
— Okonomiyaki (crêpe) avec des goûts différents: fromage, porc, crevette, poulpe…
— Takoyaki (boule de crêpe): fromage, crevette, porc
Tout est japonais de la bière au dessert.
C’est très bon et chaque petite chose qu’il rajoute sur ces crêpes sont insérés minutieusement, on voit que le propriétaire adore ce qu’il fait. C’est peu copieux, ça né rempli pas le ventre mais la qualité est présente.
Les petits encas vont de 3,5 € à 7 € selon l’ingrédient. J’ai cru voir des Bento le midi, donc c’est à tester.
En bon hôte, le gérant nous a fait goûté ses nouveautés: chocoyaki pour le dessert… un mélange de japonais et français. De plus il est fan de la culture jap’: on y retrouve un jeu d’arcade «puzzle bubble» et plusieurs comics/​manga.