Gerard Darel

Arrogance, contempt, and sales commissions combine to make shopping at this Gerard Darel location an extraordinary experience, even by Parisian standards. In a valiant attempt to improve your taste and your chances of finding a fiancé, the saleswoman here will select items for you and insist that you try them on. Expect to be reproached if you decline any of her offerings.
For the same merchandise and a young, friendly sales staff, go to the Marais location.

J’ai lu les différents avis sur les boutiques Gérard Darel de Paris et je dois dire que je me considère comme une grande chanceuseje suis tombée presque par hasard sur la perle rare, apparement !!! Cela fait maintenant un an que j’ai découvert la boutique Darel de la rue du Bac, pas très loin de chez moi. Un soir, dîner professionnel imprévu, il me faut la robe parfaite, ni trop, ni pas assez, c’est le stress total. Et je rentre chez Darel, sans trop savoir et persuadée que je n’ai pas le profil. Je bafouille 3 mots incohérents, genre robe/​dîner/​pressée et là, le charme opère. Un grand sourire, on m’écoute et on comprend. La directrice de la boutique a identifié mon besoin en deux secondes, elle m’installe, me fait préciser si j’ai une contrainte de chaussures (j’avais réussi à expliquer que je né pensais pas pouvoir repasser chez moi). Je me sens prise en main, je me calme. Non, je né vais pas ressembler à une débutante maladroite pour ce dîner ultra important. A peine le temps de commencer à me déshabiller, voilà 3 robes. A l’oeil, les 3 me plaisent, impossible qu’elles m’aille toutes les 3? La directrice me détaille les robes de manière précise, rapide et claire. J’essaie la première, elle est parfaite, je ressemble exactement à l’image élégante féminine et pro que j’avais en tête !! Cette femme, c’est un peu la marraine de Cendrillon. Pour un peu je l’embrasserais et le plus fort, c’est que non seulement tout ça a a pris 5 minutes mais que ces 5 minutes ont réussi à me réconcilier avec mon image. Le temps de régler mon achat, Isabelle (parce qu’elle s’appelle Isabelle, ma magicienne !) me suggère un foulard pour finir le look, me conseille de m’attacher les cheveux comme ça, me demande si j’ai de quoi me remaquiller dans mon sac, me propose de me changer directement sur place pour gagner du temps. Ce que je fais, et me voilà transformée en princesse business. Isabelle me raccompagne, me remercie (c’est le comble, c’est moi qui devrait lui ériger une statue !!) et me fait promettre de revenir lui raconter à quel point je les aurai éblouis. Inutile de vous dire que non seulement je suis revenue, mais que depuis, Isabelle est quasiment devenue ma personal shoppeuse à moi. Quelque soit la saison, le moment, le besoin, elle trouve toujours exactement ce que je cherchais sans le savoir. Je quitte Paris ces jours ci pour deux ans, mais je sais déjà qu’elle pensera à moi dès l’arrivée de la collection d’été et qu’à mon prochain passage, même bref, dans la capitale, je ferai escale rue du Bac pour repartir les bras chargés de merveilles Darel qu’elle aura sélectionné pour moi. A bientôt !

Je rejoins les autres avis,
vraiment on se demande parfois que fait le management?

Une étoile pour né pas dire un zéro pointé!!!
Quel accueil déplorable!!! Quelle est la politique de cette boutique de Saint Germain qui prend de haut les personnes qui ont entre 25 et 30 ans? Quelle impolitesse de la part d’une vendeuse aux cheveux blonds qui a beaucoup de mal à aller chercher ce que je lui demande en réserve et qui finit péniblement par le faire (si elle n’aime pas son boulot, qu’elle arrête de travailler ou aille travailler ailleurs!) et qui m’envoie balader au moindre mot. Faut-​il que je vienne habillée en tailleur avec un sac Louis Vuitton et de la fourrure autour du cou pour qu’on me parle correctement? Je n’y retournerai plus et les sacs et chaussures Gerard Darel c’est fini pour moi!!!

Enfin une boutique Gérard Darel où l’accueil est à la hauteur de la marque !! J’avais laissé tomber, exaspérée par le forcing pratiqué dans toutes les boutiques parisiennes, avec des vendeuses agressives et/​ou faussement mielleuses qui vous poussent à l’achat…la mort dans l’âme, parce que j’aime vraiment le style Darel. Enfin, mon problème est résolu !!
Une nouvelle boutique vient d’ouvrir au 78 rue Saint Dominique, dans le 7ème à Paris. Une équipe adorable, attentive sans harcèlement, de l’espace, du calme et de la gentillesse non feinte. Et que de merveilles !! Une réinterprétation du perfecto classique à tomber, le désormais culte pull Marylin version été (en coton), des sacs sublimes (aaaah…le 48h gris beige… j’en rêve depuis 3 jours), la ligne Pablo qui permet de se faire plaisir sans manger des nouilles pendant des semaines, bref, un bonheur. Si vous avez envie de vous faire chouchouter sans pression, de repartir avec plein de bons conseils et de belles idées même si vous né sortez pas la carte bleue, précipitez vous !!!

Mercredi soir, je quitte le bureau en cavalant pour arriver à temps pour mon habituelle razzia chez Gérard Darel, qui ferme … à 19 H faut s’magner.
Je fréquente cette boutique depuis longtemps, et m’étonne de né pas y avoir croisé Nanef à l’occasion.
Robin Wright, ex Madame Penn, est la nouvelle égérie de Gérard Darel.
(Voir photo ci-​dessous)
Elle a une classe folle, et comme j’adore cette femme belle et talentueuse depuis qu’elle jouait dans Santa Barbara (oui, ça nous rajeunit pas !), je poste une seconde photo d’elle :
(Voir photo ci-​dessous)
D’autres people arborent cette marque régulièrement.
L’an dernier, en entrant dans la boutique, j’avais perçu une excitation particulière, avec une ribambelle de femmes chics (et âge en rapport), et des tasses à café vides trainant sur les grandes tables.
Tony Parker et Eva Longoria y faisaient une shopping party en toute simplicité. Très entourés, il faut le dire. Et souriants, tous les deux. Ils sont repartis après avoir réuni une montagne de fringues bien plus impressionnante que mes quelques articles, qu’ils se feraient livrer ultérieurement.
(Voir photo ci-​dessous)
Quant à moi, en général, j’essaie tout le magasin, demande toutes les tailles pour au cas où, et repars habillée pour la saison. Fashion addict, je né sais pas, mais soldista, ça, c’est sur !
C’est un plaisir car les vendeuses sont patientes, et de bon conseil.
Objectif du jour: tailleur de bureau et un manteau demi-​saison.
En entrant à gauche, une large sélection de cuirs et peaux.
A droite, déjà les nouveautés de l’été. Un peu prématuré à mon goût, mais ça donne quand même envie
L’étiquetage des soldes est classique et efficace, avec un code couleur selon que l’article est à –30%, –40% ou –50%.
Il y a en fait une majorité de –30%
Mais encore pas mal de choix à tous les rayons.
Je fais le tour pour repérer ce que je souhaiterai essayer.
Ce faisant, je regrette que leurs belles robes m’arrivent désespérément au dessous du genou, me transformant en mémère plus qu’en top model ! Too bad.
Je mate avec condescendance le fameux sac à main 24 heures, que je né peux plus voir en peinture, tellement toutes mes copines, et même d’autres femmes franchement archi bas de gamme, l’ont acquis et brandi tel un instrument de puissance !
Une idée de prix? Avant réduction :
Pantalons de 120 à 150EUR
Chemisiers idem
Robes autour de 200EUR
Manteaux à partir de 350EUR, mais plutôt dans les 450EUR
Ayant passé en revue les modèles, je m’apprête à m’adresser à une vendeuse pour commencer mes essayages, quand j’entends une voix derrière moi :
Demain, on fait –70%
Retournons-​nous discrètement. Une vendeuse, ou peut-​être la responsable du magasin, s’adressait à un des vendeurs.
Comprenant, qu’à partir du lendemain, il y aurait de TRES bonnes affaires à faire, je prends mes jambes à mon cou en prévoyant de revenir sans faute !
(Voir photo ci-​dessous)
Et depuis, c’était l’angoisse. Arriverai-​je à temps pour mon objectif razzia sur les soldes ?
Hier, enfin, j’arrive à quitter le bureau suffisamment tôt pour rattraper le temps perdu.
Et là, c’est la déception.
Certes, les étiquettes ont baissé: les –30% sont devenus — 50%, mais les –70% sont un mythe !
Et le choix est finalement assez limité.
Une vendeuse me ramèné une pile de fringues, et reste à peu près patiente et attentionnée pendant mes essayages.
Or, autre source de déception, les vêtements né me vont pas si bien que ça… Pantalons trop petits, vestes pas assez cintrées, plus d’ensemble veste avec jupe ou pantalon
Moi qui avais rêvé de finir ma razzia comme ça :
(Voir photo ci-​dessous)
Hé bien, je repars avec une jupe, et c’est tout !
Bien coupée, et tout, mais désespérément seule
Adieu jupe en velours camel, veste ceinturée, trench doublé lapin, chemisier en soie, et accessoires …
J’en tire deux enseignements :
1) Les abus des repas de fin d’année, ça se paie cher au moment des soldes !
2) L’adage Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras s’appliqué parfaitement au shopping !
A méditer pour l’an prochain …