Musée de la Vie Romantique

Qu’il est mignon ce petit musée.
Assurément le plus petit musée que je n’ai jamais eu l’occasion de visiter.
Mais absolument charmant. Le lieu en lui-​même est un véritable petit paradis. Quel parisien né rêve pas d’une petite maison comme celle-​ci, cachée au fond d’une belle allée pavée, avec sa cour et son petit jardin? Un bijou !
La collection est très sympa, j’en ai appris beaucoup sur Georges Sand, et j’ai même vu des portraits de mes ancêtres (en tout cas des homonymes ahah).
Et en plus le musée est gratuit !
Si vous avez une petite heure à perdre dans le quartier, foncez !

On se croirait en province! En plein Paris. C’est juste magique et improbable. Il faut y aller un jour avec un rayon de soleil…

Besoin d’une pause? Rendez-​vous vous au musée de la vie romantique ! L’exposition permanante est gratuite mais le tour est plutôt rapide. La visite n’en reste pas moins désagréable. Vous pourrez notamment y admirer des oeuvres de George Sand ou encore de Scheffer. Pour rallonger la visite, vous pouvez vous tourner vers l’exposition payante.
Après votre visite, rendez-​vous dans le petit jardin qui vous fait oublier la vie agitée de Paris. Vous pouvez y déguster des thés, tout en profitant du soleil, de l’odeur des roses, de la nature fraiche et même du chant des oiseaux. Si si, c’est possible à Paris !

Un (petit) musée gratuit et ouvert le dimanche? Un endroit calme et reposant? Le rendez-​vous des romantiques?
Le musée du romantisme c’est un peu tout ça. Une demeure de deux étages où l’on trouve des tableaux et des sculptures plutôt agréables à contempler.
Deux expositions temporaires payantes.
Mention spéciale au petit jardinet, tout au calme et très mignon où il est agréable de prendre un thé. Pour un peu, le temps s’est suspendu et on oublierait presque que nous sommes à Paris.

Such a beautiful place nested in a discreet road with a garden (with a tea/​coffee place) .
I discovered the work of Georges Sand and her contemporaries and related to their lifestyle by visiting this house. It is a two storey museum so it is fairly done within 1 hour.
The place itself is beautiful and well restored but the highlights came from the pieces of jewellery that Georges Sand was wearing herself. Amazing that they could keep them for our pleasure.
The visit is free so no excuse to not visit it.

Une adresse secrète, un petit musée adorable mais très poussiéreux (attention aux allergies), un jardin extraordinaire aux belles roses tremieres MAIS un salon de thé genre cafeteria et cher ! peu de choix: la tarte salée du jour est quelconque avec quelques feuilles de mesclun tournant de l’œil, des tranches de cakes pas très appétissantes, tout cela à des prix prohibitifs, servis sur un plateau de plastique.
Les places sont rares mais squattées par des non-​consommateurs qui utilisent le wifi. Les tables né sont pas nettoyées, une seule personne à la caisse…

Musée gratuit, très jolie bâtiment et jardin particulièrement agréable ! J’ai été déçue par le musée qui manqué terriblement d’explications sur les œuvres et sur le lieu pourtant très intéressant et chargé d’histoire. On né comprend pas trop ce qui est exposé et pourquoi. À la décharge du musée, lors de ma visite il n’y avait plus de brochure en français d’où peut être ce défaut d’informations. Néanmoins le lieu vaut le coup d’œil

hâvre de paix

Patio extraordinaire !

On né va pas au musée de la vie romantique pour son petit musée (gratuit cependant) qui est sur deux étages, on y va pour son petit jardin caché dans les rues du 9ème.
Attention aux horaires: de 10h à 18h mais la caisse du salon de thé ferme vers 17h30. Et à 18h, tout le monde doit partir.
Je n’aurais donc pas testé les thés Angelina ce jour là, il était 17h45…

Cette adresse exclusive nichée au coeur de l’ancien hôtel particulier de George Sand mérite vraiment le détour! Pour son charmant jardin d’abord et ses bonnes quiches et tartes maison, mais aussi pour son atmosphère surannée qui nous transporte en pleine campagne alors que nous sommes à 5mns à peine du South Pigalle et de ces spots branchés.
Certes, on piqué-​nique plus qu’on né déjeune pour environ 15 € par personne mais le charme de l’endroit est tel qu’on peut s’autoriser cette escapade bucolique sans une once de culpabilité. J’y vais plutôt en période de vacances scolaires car la cour de récréation d’une école est située juste à côté et il arrive que ce merveilleux endroit plein de grâce et de sérénité se transforme en véritable enfer si une bande de poussins surexcités sévit à quelques mètres de là!
Une petite véranda donnant sur le jardin permet également de s’abriter en cas de mauvais temps mais le nombre de places est limité et franchement quel idée de venir ici pour être enfermés!
Petit bémol: le musée est tristounet à souhait et mériterait un lifting complet ou des expos temporaires dignes d’intérêt.

Bön ok l’endroit est vraiment TRES calme en plein milieu de Paris.
Le musée est mignon et à surtout l’avantage d’être gratuit et consacré entre autre à George Sand.
Après, être servi dans un «self» sur un plateau c’est pas très romantique…ça casse un peu le délire.
Les prix sont aussi excessifs, mais on aurait été prêt à payer avec un minimum de service car l’endroit est vraiment une adresse secrète.

Un endroit plein de charme qui mériterait qu’on en tire mieux parti.
Musée: une maison comme un havre de paix en plein Paris. On voudrait pouvoir encore vivre ainsi, comme au temps où la capitale n’était pas surpeuplée et hors de prix. Mais le lieu étant petit, il serait peut-​être plus à son avantage en en faisant une reconstitution des modes de vie de l’époque (voir la maison de Balzac) plutôt qu’une accumulation d’objets sans contexte et de toiles mineures.
Café: encore un cadre idyllique. Chaises de fer forgé, superbe serre vitrée, roses trémières et gravillons qui murmurent sous les pas. Alors pourquoi, là où on aurait pû créer un salon de thé plein de goût, s’est-on contenté d’une vulgaire cafétéria de musée, avec ses plateaux en plastique, gobelets en carton et patisseries sans goût? Du potentiel mais peut tellement mieux faire.

Mon avis concerne le «salon de thé» (avec des guillemets, donc.)
Le charme de l’endroit né fait aucun doute: petites tables de jardin sur gravillon, entourées d’arbustes plus ou moins fleuris, à l’écart de l’agitation; la caisse et les frigos où sont stockés boissons et gâteaux dans une spacieuse véranda: c’est très joli.
Mais c’est un self-​service et personne né veille au grain côté jardin.
Des personnes squattent impunément une table toute l’après-midi avec comme vis-​à-​vis leur ordinateur portable, alors que les tables sont rares, donc chères.On boit dans des verres en plastoc, et les scories des occupants précédents né sont pas systématiquement retirées de votre table: vous trouvez ça romantique?
Donc on a le calme, mais pas le luxe ni la volupté. Certes c’est peu cher (3 euros le soda), mai j’y aurais bien mis quelques euros de plus pour avoir un minimum de service.

Difficile de donner une note globale, car d’un côté nous avons un musée assez vieillissant, où on a un peu l’impression de réveiller les surveillants lorsque l’on pénètre dans une pièce.
Et d’un autre côté nous avons le café dans le jardin du Musée qui est vraiment à croquer… L’adresse a l’air d’être connue autant par d’authentiques parisiens que par des touristes, mais il né faut pas trop jouer des coudes pour trouver une place assise.
Attention, préparez –vous, le «service» n’est pas des plus aimable. Le «bonjour» semble optionnel et alors le «merci» carrément exceptionnel, mais bon, face à la quiétude du lieu baigné de soleil par un après-​midi d’Août, on né va pas se plaindre?

Je n’ai pas accroché à la demeure des Scheffer Renant transformée en musée. Il y a cependant des informations intéressantes sur George Sand, y sont exposées ces toiles qu’elle peignait avec la technique de la dendrite (aquarelle déposée sur le papier et pressé avec une feuille bristol pour obtenir une tache aléatoire).
Le petit jardin y est en revanche très charmant.

Un musée gratuit (la collection permanente) dont on a vite fait le tour (du mobilier par ci par là, des objets pas franchement transcendants, des portraits de gens dont pour la plupart je n’ai jamais entendu parler… certes je né dois vraiment pas être la cible de ce musée), mais un salon de thé extérieur vraiment charmant pour les beaux jours… C’est d’ailleurs sur le salon de thé que je préfère m’attarder.
Entouré de roses, de lierres et d’arbustes, on né devinerait jamais un tel endroit en plein milieu du quartier.
Autour de moi un couple qui se regarde dans les yeux, une jeune fille qui lit Anna Karenine, des dames du troisième âge qui papotent: ce petit salon de thé et son cadre adorablement bucolique attire jeunes et moins jeunes.
À la carte, pas grand choix: cakes, cheesecake, fard breton… Citronnade, thés, cafés pour les boissons… Mais on y va (et y reste) bien évidemment pour le cadre.

If you are a hard core George Sand reader, this place is a MUST. It helped me to understand a lot more Aurore Dupin and her work. What a wonderful woman and despite the exhibition could seem small, it means a lot for those of us who have read almost every of her books. It also has a small collections of paintings she did and a couple of Delacroix works. Beautiful garden and the chance to check one of this old Parisian houses.

Un endroit très charmant, parfait pour une pause bucolique !
Le musée est très petit et il y a peu de choses à voir, mais l’endroit vaut le détour !
A peine un pas et on est déjà loin du bruit de Paris et de la place Pigalle, qui est à deux pas.
Entrez admirez quelques vestiges de la vie de George Sand, de sa famille et autres tableaux et objets d’époque. Puis, sortez, installez vous à la terrasse du jardinet et savourez ce calme
Le personnel est très sympathique, l’accueil chaleureux.
Un endroit à découvrir !

Très honnêtement, n’y allez pas pour les œuvres et objets, qui valent à peine le détour.
Mais allez-​y quand même, parce que l’endroit est agréable. Le jardinet surprend au milieu de Paris, et c’est l’endroit idéal pour un thé ou une citronnade. Parfois, l’endroit réserve peu de place aux badauds et vous aurez très envie de demander élégamment aux mamies de revenir à un autre moment puisqu’elles n’ont rien d’autres à faire de leurs journées, mais né le faites pas, attendez patiemment, puis installez vous et savourez les mines réjouies des nouveaux arrivants, très heureux d’avoir eux aussi découvert ce charmant endroit.
Pour les œuvres, quelques tableaux, des objets d’époque, des sculptures, disposés dans les pièces dont on a, somme toute, vite fait le tour.

Moi, j’hésite un peu à vous parler de la vie romantique… Car c’est un endroit d’autant plus charmant qu’il est un peu secret.
Après avoir marché quelques mètres entre les sex shops du métro blanche et les petites femmes de pigalle, on renoue avec le romantisme dès qu’on arrive dans l’adorable jardin de ce musée.
Il est composé de 2 batiments: l’un est l’ancienne maison de Georges Sand (que l’on peut visiter) et l’autre un musée qui accueille toujours de très belles expositions.
En été, on peut aller manger de délicieux gateaux dans le jardin, sur de la petite vaisselle en porcelaine qui ressemble à de la dinette, et imaginer qu’elle appartenait à Georges Sand. Merveilleux, non?

Au coeur du quartier de la nouvelle Athènes, le numéro 16 de la rue Chaptal abrite depuis 1987 le musée de la Vie Romantique. C’est dans cet ensemble homogèné d’immeubles bâtis entre 1820 et 1850 que choisit de vivre un grand nombre d’écrivains, d’acteurs, de musiciens et de peintres qui formèrent l’élite du mouvement romantique parisien.
La maison du peintre Ary Scheffer ouvre aujourd’hui ses portes pour d’accueillir les souvenirs de l’artiste et de son amie et voisine, la romancière George Sand. Le romantisme et le calme du lieu contraste avec le côté canaille de la rue Pigalle. Le jardinet, l’ambiance est propice à une ballade romantique. Le musée est gratuit. Le jardin d’été est idéal pour un brunch apaisant: thés et gâteaux venus tout droit des Cakes de Bertrand rue Saint Lazare. Enfin, un peu de douceur dans ce monde de bruts !

Quartier de la nouvelle Athènes. Un immeuble semblable à ses voisins, l’Hôtel Particulier Scheffer Renan.
Dans les années 1830, vivait en ces lieux le peintre Ary Sheffer.
Depuis 1987, la bâtiment abrite un musée, dédié à sa mémoiré, celle du quartier et à la romancière Georges Sand, voisine et amie de l’artiste.
Vous pourrez y voir la collection de Sheffer, des objets de Sand, des toiles du peintre.
Mais je né recommande pas le musée pour ses expositions mais pour son adorable jardin — salon de thé, dans lequel il fait bon s’attarder les chaudes journées d’été.

I love many of the small, personal museums of Paris. This museum is a fine example of what the French do very well. Honoring and preserving accessible history. The hand tended collections of this house with period correct paintings, furniture, and décor is wonderful. The garden and the small café is welcoming. It is a small piece of calm in the noisy city.
The lack of typical grand museum pretention here is admirable. I feel close to the memory of the people that the museum exhibits and honors.
I’m no grand student of French society during the period of 1820 – 1875, but I did gain insights into the thoughts and values of the people who lived here.
A worthy museum visit.
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J’aime beaucoup des musées petits et personnels de Paris. Ce musée est un bien exemple de ce que le français fait très bien. Honorer et conservant l’histoire accessible. L’a soigné bien des collections de cette maison avec la période corrigent des tableaux, les meubles, et le décor est merveilleux. Le jardin et le petit café accueillent. C’est un petit morceau de calme dans la ville bruyante.
Le manqué de grandiose pretention de musée typique voici est admirable. Je me sens près à la mémoiré des gens que le musée expose de le et les honneurs.
Je né suis pas un bon étudiant de société française pendant la période de 1820 – 1875, mais j’ai gagné des perspicacités dans les pensées et les valeurs des gens qui ont vécu ici.
Une visite digne de musée.