Musée National d’Histoire Naturelle

Superbe, les collections et l’installation sont vraiment bonnes, et didactiques.
Sans parler des murs, la verrière de la Grande Galerie est magnifique

The whole ‘Musée National d’Histoire Naturelle’ at the Jardin des Plantes is divided into several exhibitions, spanning several buildings that can all be visited separately and together they form the Natural History Museum. And I would advise to visit them on separate days — because otherwise it would just be too much to take in all in one day.
I have only visited two of of the sites so far (if you don´t count the Jardin de Plantes itself) but can totally recommend it.
Every site costs extra. So if you only want to visit one exhibition or building, you only pay for that and not for the others. But on the other hand this makes visiting the whole Natural History Museum also quite expensive as each of the different exhibitions isn´t exactly cheap either.
The ‘Grande Galerie de l ‘èvolution’ (the main theme is Evolution) I would especially recommend to visit with your children. It´s interesting for adults too, but the material they provide is really mostly for children. The information they provide is mostly in French, English and in German. It´s also a wonderful building to visit. On the top floor there is a small exhibition about the museum itself and it´s long history which I would recommend not to leave out.
The ‘Galeries d’Anatomie comparée et de Paleontologie’ in a long hall-​like building on three floors, features mainly skeletons of many different Animals (to compare them anatomically — like the name says). It is magnificent and I absolutely recommend visiting that exhibition.
The Sites that I haven´t visited so far are the Galerie des enfants (more of a play-​thing for children), the Ménagerie (the small Zoo on-​site in the Jardin des Plantes) and the Minerals & Geology Museum.

Merveilleux! Voilà ce que je pourrais dire de ce musée. En ce moment il y a une exposition sur les grands singes et c’était fort intéressant, nous avons même assisté à un petit spectacle de danse contemporaine. La danseuse était comme habitée, elles dansait tellement bien, c’était beau.
que dire du reste du musée: que l’architecture même du musée est merveilleuse? Que le musée en soi est tellement bien pensé? Que la sensibilisation à l’extinction de certaines espèces m’a fortement marqué?
Que dire? Que dire? Je pense que j’aurais pu y rester des heures, mais le musée fermait déjà ses portes.
Mon seul conseil: allez-​y! C’est beau, c’est ludique, et c’est très intéressant.

Je me souviens du Muséum d’Histoire Naturelle de mon enfance (il y a un demi siècle, et oui) ou quand j’y ai emmené mon fils voici 30 ans.
Quel nid à poussière. Il né fallait pas être allergiques aux acariens.
J’y suis retourné ce mois-​ci. Quel changement.
La grande galerie de l’évolution, comme dit le site du Muséum: «Ils né parlent pas mais disent tout de la vie. Ce sont les 7 000 spécimens, plus vrais que nature, de la Grande Galerie de l’Évolution. Un lieu mythique rénové en 1994, où la modernité tutoie l’histoire et la science, pour conter la grande aventure de la biodiversité»
Vous pouvez vous imaginer devant l’arche de Noé avant le déluge, du moins d’après ce que nous en dit la Bible.
Je né dirais qu’un mot: FABULEUX.

J’ai eu l’occasion de visiter le Muséum National d’Histoire Naturelle à plusieurs reprises pour découvrir et redécouvrir :
— Galeries d’Anatomie comparée et de Paléontologie
— Grande Galerie de l’Évolution
On peut observer les squelettes de mammifères préhistoriques uniques au monde et des animaux incroyablement préservés par des techniques de conservation qui ont depuis été réutilisées autour du monde.
Ce musée est gigantesque et il faut prévoir plusieurs jours pour le visiter correctement.

Cet ensemble de musées, situé dans le magnifique Jardin des Plantes, m’a toujours fasciné. Représentant une période de l’histoire de la science où on inventoriait le vivant, le minéral, en clair tout ce qui constitue notre planète, l’ensemble semble délicieusement vieillot, gentiment rangé entre des murs de briques rouges, sur de vieilles étagères de bois. La galerie de l’évolution est bien sûr somptueuse mais ce qui est encore plus incroyable ce sont les vieux fossiles du bâtiment de la paléontologie et d’anatomie comparée.
Pour un enfant, cet endroit est le paradis, de quoi appréhender le monde et de rester fasciner devant toutes ces bêtes empaillées ou fossilisées. J’aime regarder les vieux bocaux, les commentaires désuets et les murs décrépis des grandes salles du musée. Ces coupes anatomiques à l’ancienne, ce décorticage du vivant nous renvoient forcément à nous-​mêmes, animaux parmi les autres.
Une visite toujours aussi attrayante et étrange entre les pâtes d’un diplodocus tout droit sorti autre âge ou les fanons d’une baleine de vingt mètres de long.

17 ans que je n’ai pas remis les pieds au jardin des plantes et encore moins au museum d’histoire naturelle.
Des travaux ont été refaits depuis le temps et c’est tjs avec autant de fascination que je me retrouve à contempler la galerie de ces animaux de toutes les époques.
Le parcours sur 3 étages est très bien expliqué et on prend plaisir à imaginer comment ont pu vivre ces animaux.
Un bon point pour la galerie des animaux disparus!
Une grand surprise cependant: aucune des plaques descriptive n’est rédigée en anglais, c’est dommage vu le nombre de touristes devant visiter le musée.
2e point: les toilettes avec des sèches main d’un autre age, pensez à investir dans des dyson ! ^^

Le regard sur ces animaux naturalisés peut changer lorsque vous vous y êtes rendu une première fois en étant enfant (vous adorez et puis c’est très instructif) et une deuxième fois à l’âge adulte lorsque vous comprenez plus en profondeur le travail du taxidermiste. Les animaux de la Grande Galerie ont besoin d’être restauré car très abimés. Autrement la Galerie de l’évolution peut s’avérer être un bon moyen pour réviser son programme de SVT de terminale.

Ce quartier me rappelle toute mon enfance, quand ma grand-​mère m’amenait au Jardin des plantes et à la Ménagerie y attenant. Mais le Musée d’histoire naturelle, c’était ma première fois.
Le lieu est agencé en fonction des espèces et on y trouve beaucoup d’explications, accessibles aux adultes comme aux enfants.
Datant du XVIIIème siècle, le lieu lui-​même est un chef d’œuvre et je reste abasourdie par la beauté de tels lieux parisiens.
Non seulement on en apprend beaucoup sur les différentes espèces régnant sur le monde mais le musée a appris à évoluer avec son temps en nous amenant à des réflexions qui nous touchent tous tels que la déforestation, la surpopulation, la disparition de certaines espèces, l’écotourisme…
Un endroit ludique pour tous, avec un espace spécial enfants (payer un supplément) qui né me semble pas nécessaire.
J’ai toutefois regretté le manqué de lumière, c’est si peu éclairé que cela peut en devenir assoupissant.
Compter 2h30 minimum de visite. Parfait en cas de coup de chaud, ou de froid!

Ce matin nous sommes allés voir l’exposition Dinosaure la vie en grand et la Grande Galerie de l’Évolution avec nos 2 petites filles très intéressées par les animaux, préhistoriques ou non.
La bonne entrée est du côté rue Geoffroy Saint Hilaire.
La queue était longue comme deux dinosaures, mais l’organisation avec filtrage et entrée par vague nous a permis d’entrer en moins de 30 minutes.
Et nous voilà qui descendons d’abord au sous-​sol pour l’exposition consacrée aux dinosaures, notamment à ceux découverts en Charente du côté d’Angeac en 2009 dans une carrière de craie.
Il s’agit ici de sauropodes vivant il y a 140 millions d’années. Notamment un Mamenchisaurus grandeur nature, une jeune femelle de 18 ans ayant vécu en Chine et qui mâchouille quelques branches. Très séduisante…
On fait le tour de l’animal et aussi des parties de son corps: ses os, son cœur énorme capable de pomper 600 litres de sang, ses poumons tout autant etc…
La visite se termine par un film sur les fouilles d’ Angeac, et après pour les plus grands (6 ans et +) une mini fouille avec des experts…
Après nous sommes remontés au dessus dans les étages pour voir cette fois-​ci la plus classique mais néanmoins très belle Grande Galerie de l’Évolution avec tous les animaux taxydermisés et son éclairage ombré et lumière…
2 petites heures en tout, parfait vu l’âge de nos petites filles (5 et 2 et demi) qui étaient ravies de leur visite.
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En mai dernier avec Marie ma petite fille que je gardais, nous voilà partis l”après midi en bus pour visiter les galeries de paléontologie et d’anatomie comparée du Muséum d’Histoire Naturelle qui lui a beaucoup plu bien qu’elle n’ait que 4 ans…
Très intéressante galerie au RDC avec les animaux actuels doublée à l’étage de la galerie paléontologique avec les animaux préhistoriques vertébrés, surmontée d’une intéressante promenade pour mieux voir ces grands squelettes préhistoriques et pour ceux que cela intéresse les invertébrés.
La visite peut être adaptée à l’âge de l’enfant et à ses intérêts, le tout doublé de l’achat d’une peluche préhistorique pour elle et sa petite sœur par le papy gâteau et la voilà ravie de cette visite, mais moi tout autant!

j’y suis allée pendant la nuit blanche hier par hasard. une amie et moi, nous avons passé des heures ici (elle est scientifique et moi, geek). il y a une enorme collection de squelettes. c’etait un peu difficile pour moi a distinguer quelques animaux car je connais pas les noms en français, mais tant pis. c’était genial!

Je né peux pas visiter une ville sans passer par son musée des histoires naturel, j’adore ça !
Et celui de Paris est absolument magnifique et très impressionnant de par son architecture et sa taille, il est absolument énorme. Un style retro/​vintage industriel, des éclairages centrés sur les sujets et donc plutôt intime. C’est vraiment un autre monde en fait ! Leur collection de spécimens empaillés, squelettes et autres insectes est vraiment impressionnante mais un peu vieillissante et ca se voit (d’où mon retrait d’une étoile) Un petit coup de frais né lui ferai pas de mal à mon avis !
A côté de ca, le prix de l’entrée est vraiment dérisoire pour les enfants et les étudiants, donc on n’ pas a se plaindre et on peut profiter de la visite à 100%.
Il reste un incontournable pour le tourisme Parisien !

Das Muséum national d’Histoire naturelle besuche ich immer wieder gerne. Diesmal konnten wir unserem kleinen Enkel die stattliche Sammlung des Naturkundemuseums zeigen. In der Grande Galerie de l’Evolution sind ca. 7000 verschiedene Arten zu sehen. Neben den riesigen Skeletten der Wale beeindruckte ihn vor allem die Tierkarawane aus Elefanten, Nashörnern, Zebras, Giraffen, Büffel, Flusspferden, Löwen u.v.a. Tieren.
Im zweiten Stock befindet sich eine beachtliche Sammlung ausgerotteter und bedrohter Tierarten. Hier kann man sein Umweltbewusstsein hinterfragen.
Das Museum hat einen besonderen Charme, dazu tragen auch die in die Jahre gekommenen Exponate bei. Bei einigen haben wohl Souvenirjäger Haare ausgerissen.
Ein kleiner Erfrischungsstand im ersten Stock bietet Kaffee und kühle Getränke an.
Das Museum ist auch für Kleinkinder interessant. Unser Enkel hat sich in den knapp 1 ½ Stunden nicht gelangweilt.
Die Boutique des Museums ist mit exzellenten Büchern, Bildbänden, Karten, Spielzeug und Textilien zum Thema ausgestattet.
Geöffnet von 10 bis 18 Uhr.
Eintritt:
Erwachsene ab 26 Jahren: 7 EUR, Behinderte Personen und ihre Begleitpersonen haben freien Eintritt.

Très impressionnant car on n’a pas l’impression de né pas être dans un musée mais dans ces réserves.
C’est très intéressant, à faire au moins une fois.

Pour moi c’est un musée parfait et qui s’adapte à tous. (sauf si vous n’aimez pas les animaux, evidement.)
Ce que j’aime, c’est que c’est un musée interractif. Les enfants peuvent avoir des questionnaire, et les fiches sont très détaillés, les renseignements intéressant. Mais selon moi, il faut bien prévoir une journée pour tout voir.
Petite, ce musée me faisait rêver. J’ai eu l’occasion d’y retourner, et c’est toujours le même effet Magnifique, ca fait rêver !
Mais ça fait également réfléchir, avec la galerie (un peu cacher c’est vrai) des animaux en voie de disparition ou disparue. On se sent triste et même un peu coupable.
Vraiment splendide comme musée ! A appréciez en famille, petit et grand !

J’adore cet endroit; j’adore les animaux, c’est sûrement pour ça !
Bref nous y sommes allés avec les enfants un weekend.
Le trajet en train s’est bien passé, pas de grèves, pas de blocage, pas de retard !
Arrivés devant la porte, la galère car il pleuvait et il n’y a pas d’abri donc: vous êtes invités à prendre une douche gratuitement !
Une bonne queue avant de pouvoir entrer.
Une fois à l’intérieur, la visite est agréable et c’est impressionnant de voir tous ces animaux alignés; cela me passionne à chaque fois.
Ce jour là y avait un espace spécial: les dinosaures; manqué de bol mon mari n’a pas voulu prendre cette option; Enzo a fait une tête de 10 mètres de long.
Histoire de se réchauffer on prend un café ou un chocolat chaud; un peu cher la note quand même.
Sans enfants on peut prendre le temps de lire les explications et de voir les petits reportages :) ps: je né suis pas inspirée pour traduire tout cela en espagnol ou en anglais :)

Quel bel endroit !
Bien disposé, agencé, mis en scèné !
C’est très vaste et très beau mais en fait c’est assez froid.
Il y a énormément d’explications (trop?) qui né sont pas forcement accessible au grand public et au plus jeune mais comme ça tout le monde est content !
D’ailleurs ils ont réalisé un espace galerie des enfants assez chouette, où ils peuvent toucher, tripatouiller, observer, etc. Endroit sympathique, surement inspiré de la cité des enfants de la cité des sciences mais assez petits et on en à très vite fait le tour

Très instructif
Musée situé dans le jardin des plantes de Paris au sein d’un très beau batiment. Cet espace de découverte né fait pas partis des circuits touristiques mais est très instructif. La partie sur l’Afrique est absolument sublime. Prévoir un demi journée pour une visite correcte. Ce musée intéressera aussi bien les petits que les grands. Lorsque la visite est terminée vous pouvez prévoir une visite du jardin des plantes.

La première fois que j’ai visité le muséum d’histoire naturel, j’avais moins de 10 ans et j’ai toujours été marqué par le souvenir de l’agneau à deux têtes dans le formol, le squelette humain avec quatre jambes dans la galerie des monstres. C’était d’ailleurs dans cette galerie qu’on avait exposé jusque dans les années 70 le corps de la vénus hottentote.
Viens ensuite, la galerie d’anatomie comparée et celle de paléontologie, qui sont dans des bâtiments au bord de la ruine qui méritent d’urgence une restauration, ce qui n’enlève en rien la beauté des fossiles et de la collection, on est plongé dans le XIXème siècle.
Toutefois ils travaillent petit à petit à la restauration de l’ensemble du muséum, puisque depuis un an, les serres sont restaurées et rouvertes au public et c’est également le cas de la grande galerie de l’évolution… J’ai visité en 1994 (12 ans) la galerie avant sa grande refonte et sa réouverture et je l’ai redécouvert avec mes yeux d’adulte lors de la nuit des musées de samedi dernier (mai 2011).
La galerie de l’évolution, c’est une collection immense d’animaux naturalisés (on né dit plus empaillés) de toutes sortes, insectes, oiseaux, reptiles, papillons, mammifères, espèces marines et probablement le clou du spectacle les animaux disparues avec le fameux dodo…
Depuis 1994, la galerie s’est très fortement modernisée, le bâtiment a été entièrement restauré il est magnifique, on a une nef centrale gigantesque où s’y trouvent les grands mammifères de la savane africaine, les animaux (éléphants, lions, girafes…) sont mis en scèné. Et nous avons des balcons supérieurs qui offre une vue plongeante sur cette nef, au risqué d’avoir fortement le vertige, c’était mon cas.
Il y a 4 niveaux, le premier qu’on peut considérer comme le sous-​sol, présente le milieu marin avec des squelettes de baleines et le calmar géant, mais aussi des manchots, de nombreux poissons, des dauphins… le deuxième niveau c’est la fameuse nef avec les grands mammifères et un espace interactif pour les enfants. En 1994, pour les enfants que j’étais on avait simplement une fiche et on s’amusait à le poinçonner dans toutes les bornes du musée pour avoir un dessin en relief (espèce marine, mammifères etc…) aujourd’hui au XXIème siècle, l’ordinateur a fait son apparition, il y a beaucoup d’espaces interactifs avec écrans tactiles, des téléviseurs qui expliquent un thème précis…
Le troisième niveau s’intéresse à l’homme avec pour thème l’écologie qu’on détruit, c’est un peu le passage de la repentance, surtout que la galerie des espèces disparues se trouve à cet étage en insistant bien sur le fait que c’est de notre faute. C’est un peu le moment grosse déprime.
Le dernier niveau, s’intéresse à l’évolution avec des répliques de la première édition du livre de Darwin en 1859 avec beaucoup d’espaces interactifs ou didactiques pour expliquer ce qu’est l’évolution.
La grande galerie de l’évolution permet de voir la grande diversité du monde vivant, les nouvelles techniques de naturalisation rendent les animaux très vivant, ils sont souvent mis en scènes comme par exemple les ornithorynques qui jouent entre eux. Mais né vous attendez pas à voir des squelettes de dinosaures (sauf dans l’exposition temporaire «A l’ombré des dinosaures» actuellement jusqu’en juin 2011) rien de cela dans cette galerie qui est probablement la moins passionnante de l’ensemble du muséum mais qui permet de mieux se rendre compte de la beauté du monde vivant et de sa diversité, voir un calmar géant même naturalisé est unique au monde.

I haven’t had television reception since 1994. I watch what I want on DVD, hulu, netflix and so on. This suits me perfectly but is also relevant, for I had managed to miss an entire slew of NATURE!!! SO DANGEROUS!!! EXTINCT CREATURES!!! ATTACKING YOU!!! documentaries which I almost certainly would have watched otherwise but, honestly, find a little bit crazy and stressful. My sweetheart and I watched the National Geographic special on Sarcosuchus[1] and I was stunned, to say the least. The drama! The tension! The spectacle! National Geographic, wherefore the circus?
Fast forward: when struck down by a particularly virulent cold the day after my sweetheart and I arrived in Paris, I dramatically shortened my list of Things To Do And See to one item: The Musée National d’Histoire Naturelle. If I did nothing else, I would get here.
And I did! Sniffling and mildly feverish, but so, so excited. The articulated and mounted specimens are amazing[2] and so strikingly simply arranged, the tiny corner of oddities somehow is endearing, and stop two on my World Glyptodont Tour is complete.
My sweetheart patiently followed me around the collections, irreverently making dramatic faces at every remotely crocodilian specimen and saying in a hushed announcer voice, «Could it be… SARCOSUCHUS???» And then, holy moly, we saw a large looking fellow across the aisle. Slowly we turned, step by step, inch by inch. *Could* it be Sarcosuchus? It *was* Sarcosuchus. They have Sarcosuchus. SARCOSUCHUS! We couldn’t believe it. I still haven’t recovered from my fit of glee.
If you can contain your own fits of glee, or aren’t prone to them in the first place, it is beautiful and eerie and if you get the chance, you should absolutely make a trip of it. Walk through the Jardin des Plantes — beautiful even in winter — and immerse yourself in the kind of dusty, hand-​labelled collection that makes wannabe Victorian gentleman scientists like me swoon. And make sure to take a picture — no flash — with Sarcosuchus.
[1] a.k.a. SUPER CROC, see

[2] My sweetheart, however, referred to them as «The Army of Death.»

OMG, WHALE SKELETONS!!! Insanity!!!
Tons of really cool stuff in the permanent collection. Everything you want to see is on the first floor. Dinosaurs are on the second floor (boring) and fossilized invertebrates are on the third floor (super boring).
Also, it seemed like all of the skeletons they had were mounted in the 1700’s and 1800’s. And some of them have backstories, like that they were mummified animals in tombs from ancient egypt, or that 200 years ago, they were in the zoo (which opened in 1793 and is still open today) and when they died, their skeleton was put on display in the museum. Weird. Cool.
Check it out. Also, there are BEAUTIFUL gardens next to the museum. So def check that out if it’s spring/​summer.

Mes pensées se perdent et me transportent dans ce moment que j’attends depuis plus de 3 mois et même d’avantage.
Heureux que j’étais, quand mon regard se posa sur l’affiche. Mon oeil fut attiré à l’époque par la silhouette d’une créature étrange, hybride tirant une longue langue bifide. Le soleil m’empêchait de voir en détail son anatomie. Je m’approche pour mieux voir, m’attarde sur la couleur, les écailles, les ailes, les cornes, étrange il n’y en avait pas. Et je compris. Voulant en savoir plus, mon regard se jeta naturellement sur le texte.
Et oui ! C’était bien ce que je pensais. Dragons entre science et Fictions au Muséum National d’Histoire Naturelle du 5 avril au 6 novembre 2006 à Paris.
Il existe encore le Site officiel de l’exposition (
). Je né me lasse pas d’y retourner de temps en temps.
Jingle «…Vous êtes arrivé à Paris Gare de Lyon, terminus du train, tous les voyageurs descendent de voitures, assurez vous de né rien avoir oublié à votre place»
Mes pensées s’effacent et laissent place à la réalité.
Le rêve réalité commence en gare de lyon, partenaire de l’exposition. Et je peux dire qu’il se passé de drôles de choses à la gare de lyon, à Paris.
Photo link:
Un dragon de 7 mètres d’envergure surveille d’un regard menaçant le public du hall de gare! Cet aimable volatile, réalisé avec des cannettes et du carton recyclé, m’annonce l’exposition que j’attendais depuis longtemps.
Cette exposition a eu lieu dans la grande galerie de l’évolution du musée. Elle était destinée à un large public, adulte ou familial. Le parcours dans le musée invité toute personne, enfant ou adulte à découvrir le monde réel ou imaginaire du Dragon.
Un petit magazine destiné aux enfants le permettait de jouer tout en apprenant
voici la pochette (je l’ai gardé car je collectionne tout ce qui les concerne)
(Voir photo ci-​dessous)
Dans l’exposition, à un moment, une console à disposition du public m’a permis de m’amuser à créer mon propre dragon avec des parties de corps d’animaux connus. J’ai donnée naissance à une créature «hybridomalformée».
Un concours a été organisé et les plus beaux spécimens ont été retenus, on peut les retrouver ICI (
)
Actuellement, à la Grande Galerie de l’Evolution et jusqu’au 31 décembre 2010 vous pouvez partir sur le Parcours de la Biodiversité et y découvrir sur une trentaines d’escales les espèces disparues. De l’ours blanc en passant par le Narval sans oublier le fameux Dodo devenu l’emblème des espèces disparues.
Et nous voyons que le MNHN s’intéresse aussi bien aux espèces qui né font plus partie du monde visible qu’aux créatures qui n’ont jamais fait partie de notre réalité.
Complément sur l’exposition :
L’exposition sur les Dragons a pris son empreinte en Moselle au château de Malbrouck en 2005 et a continué jusqu’au Québec au Musée de la Civilisation du 09 mai 2007 au 16 mars 2008. Le site de l’exposition Dragons, entre science et fiction au Musée de la Civilisation

Une superbe galerie qui amuse autant les petits que les grands ! La galerie d’anatomie comparée permet de découvrir les particularités de chaque espèce, mais aussi d’observer les différences entre herbivores et carnivores grâce à des organes préservés dans du formol, brrr !!!
La galerie des monstres (chats cyclopes, siamois…) est en général un must pour tous les âges, et bien sûr, les dinosaures du 2e étage font un malheur ! Et bien qu’il fasse un peu poussiéreux, ce musée est justement très attirant pour ce côté authentique, comme une plongée dans un autre monde !

ET si La grande galerie de l’évolution était tout simplement le plus beau musée de Paris? Pour moi, c’est une certitude. Quelle merveille !
Premier choc: le volume du musée ! C’est immense ! Construit — et surtout parfaitement réhabilité — en mezzanines, toutes plus belles les unes que les autres, surplombant le plateau central, elles offrent une vue unique sur l’architecture du bâtiment. Entièrement décoré de bois et de fer, le musée est une réussite totale, mariant le classique et l’ultra modernité. Les éclairages sont également très réussis. Sans parler du mobilier.
Qu’est-ce qu’on voit dans ce musée? Des animaux, par centaine, dont le travail de taxidermie laisse pantois ! Le niveau 0 offre une scénographie hors du commun: une caravane d’animaux de la savane s’étend sur des dizaines de mètres, comme si chacun se dirigeait vers un arche de Noé invisible. C’est scotchant.
Aux différents niveaux, sur les grands balcons, les pièces de la collection sont rangées par thématique. L’étage des animaux disparus est vraiment très émouvants. On découvre un dodo, puis un dingo… tous ces animaux devenus mythiques mais qui ont bel et bien disparus de la surface du globe.
Il y a également une baleine bleue extraordinaire, dont les enfants sont archi fans… il y a de quoi, je suis comme eux, les yeux grands ouverts et la bouche en cœur !
Mon petit plus: les singes accrochés un peu partout, sur les balustrades ou sur la cage d’ascenseur !

Au quatrième jour de notre séjour, les enfants sont à l’honneur et je leur propose la Grande Galerie qu’ils avaient déjà vue petits mais ils n’en avaient plus mémoiré (sélective) .
Il y a en général beaucoup de queue quand il y a une expo temporaire. Chance pour nous, pas d’expo, donc pas de queue .
On y passé de 2 à trois heures si on veut tout lire .
Verdict des seniors: épatant
Verdict des ados: époustouflant. Le plus petit a fait un questionnaire pris à l’entrée, c’était parfait .
Et moi, et moi, et moi: toujours écoeurée par le cube de déchets, par la pollution humaine, par le gaspillage, par la disparition des animaux .
En fait, cette visite me rend très triste et très soucieuse de l’avenir .
Petit plus: à la sortie, allez vous offrir un thé à la menthe au salon de thé de la Mosquée de Paris. Dépaysement assuré et consos pas chères pour Paris: 2 euros quelle que soit la conso. Par contre, c’est souvent bondé.