Conventuel des Jacobins

Pour ce premier jour de l’Inspiration Week édition printemps, on parle poésie. Trouver un endroit poétique, pas simple. Mais si, j’en ai un, c’est le cloître des Jacobins, ce carré baigné d’ombres et de lumières avec ce grand cyprès méditerranéen qui a un côté très solennel et intemporel. J’adore m’y promener à l’occasion d’une visite au palmier.

Mon CHOUCHOU inexplicable de Toulouse.
Il est mon coup de coeur incontesté depuis toute petite. Encore plus, depuis qu’au collège on m’a appris à regarder l’évolution des couleurs sur les vitraux dans la salle principale: du rouge foncé au bleu foncé, en passant par le blanc, de l’enfer au paradis en passant par la Terre.
Un palmier absolument saisissant dans la double nef.
Bref c’est beau et plein de signification, même pour les novices de l’art ou de l’architecture.
En prime, il y a un CLOITRE. Et moi, les cloîtres, c’est ma vie ! (ou pas quand même). Mais celui-​là, il est particulièrement beau, bien entretenu, chargé d’histoire, on sentirait presque l’âme des anciens moines…
Enfin, le réfectoire abrite souvent des expositions temporaires, je me souviens il y a une dizaine d’années, d’avoir vu une exposition saisissante sur l’Homme. Toujours remplies de signification avec une vraie volonté d’impact, elles sont rarement à dimension religieuse et je l’apprécie.
Je me rappelle qu’étant petite, c’était un des rares monuments religieux qui m’émouvait. Du coup, j’avais décidé que si un jour je me mariais (oui parce que j’étais pas trop partante) ce serait uniquement là (je vous rassure, c’est impossible). Voilà, voilà !
L’ensemble est gratuit avec un supplément de 4 € pour accéder au cloître et au réfectoire.
Vraiment, c’est A FAIRE absolument si vous passez sur Toulouse (ou même si vous y habitez et que vous n’avez jamais pris le temps de le faire !)

Alors je me suis rendu dans ce monument surtout parce que j’avais vu qu’il y avait une exposition de 170 photographies de la collection de la Galerie Château d’eau.
Très bien situé, Les Jacobins donc facile à trouver, situé en plein centre ville non loin du Capitole.
Une fois rentré dedans j’ai été impressionné par sa beauté.
Je né regrette pas d’y être rentré.
Le cloitre est vraiment très beau surtout quand le soleil et de rigueur, comme quand j’y suis allée. C’était vraiment très agréable et plaisant a voir .
Ensuite je me suis donc rendu dans le réfectoire pour l’exposition photo (elle est jusqu’au 7 juin 2015), très jolie endroit et l’exposition était vraiment très intéressantes avec de très jolies photographies, réalisé par des grands noms de l’histoire de la photographie d’ici et d’ailleurs. Elle souligne les correspondances, les parentés, qui se nouent malgré les démarches en rupture avec le passé, les différences d’époques ou l’évolution technologique.
Enfin pour les fans de photos je vous conseilles d’y aller jeter un coup d’œil et pour les autres de ce rendre au moins dans le monument Les Jacobins afin de le découvrir, ça serait dommage pour vous d’y passer à côté.

«Maman ! Maman ! Regarde le palmier comme il est grand ! «
Les Jacobins, c’est LE monument qu’on visite lorsqu’on débarque à Toulouse !
Un des plus magnifiques, en toute objectivité !
Il fait partie du patrimoine toulousain et européen et pour cause: Ce qui est encore plus impressionnant que ses dimensions, c’est son histoire ainsi que les mystères que la bâtisse abrite.
Cette prouesse de l’art gothique est constituée d’une église, d’un cloître (que j’adore), d’un clocher, d’une salle capitulaire, d’un réfectoire et de la chapelle Saint Antonin !
Véritable havre de paix, je vous invite à aller y faire un tour ! C’est un endroit incroyable !

Les nains ont vraiment existé!
Et vous verrez ici un des vestiges de la Moria… Toulouse transpire de mystères et l’on comprend très vite que tout a commencé ici.
Pour l’atteindre il vous faudra traverser une horde d’orques qui vous regardent marcher sur plusieurs mètres et entrer dans le piège! (oui ce sont les lycéens en mal de jugement sur votre allure).
A l’intérieur: étonnement de lumières, de hauteur et à la dernière colonne penchez-​vous sur le miroir de Galadriel pour y voir l’avenir (et oui penchée en avant on voit mieux les futures rides ou on a envie de vomir ça dépend).
Et pour remercier l’oracle de cette vision allumez un lampion!
Non plus sérieusement c’est vraiment surprenant et intéressant de voir encore les restes de couleur sur les colonnes, ce qui nous permet d’imaginer comment était l’esthétiques des monuments religieux à leur époque. J’adore cet endroit.
Mention à voir!

J’aime particulièrement les Jacobins.
C’est un ensemble incontournable du paysage architectural et culturel toulousain.
Il est idéalement situé en cente-​ville, à juste 5 minutes à pied de la place du Capitole. On peut y admirer les magnifiques colonnes-​palmiers, assez uniques, et le couvent avec sa promenade à arcades est très beau.
C’est également là que l’on peut écouter de très beaux morceaux de musique, lors du festival des Pianos aux Jacobins, grâce à la superbe acoustique.
Bref, à faire, et à voir!!!
Attention, par contre, il est juste à côté du collège et lycée Fermat, donc pas mal de foule aux horaires de sortie de classes, en période scolaire.

Magnifique ensemble impressionnant de par sa hauteur, mieux vaut né pas avoir peur du vertige. C’est un belle architecture tant extérieure qu’intérieure.
Les grands piliers qu’on admire à l’intérieur même de l’église sont fabuleux.
Des palmiers dans une église? incroyable mais vrai, c’est assez insolite je vous l’accorde, donc cette église mérite le détour pour sa voûte sous forme de palmiers.
En outré, le jeu de miroir au pied du palmier dans la structure donne une impression de hauteur, vertige assuré.
Enfin le cloitre qui est payant permet d’admirer des peintures et autres expositions. L’espace intérieur donne lieu quelques fois à des manifestations culturelles comme des concerts. A visiter absolument.

Ma première découverte de cet ensemble remonte à ma 3ème année de licence, lorsque j’avais réalisé un dossier pour mon cours d’art médiéval. J’étais alors à 700 km de là et je né l’avais jamais vu en vrai!
Imaginez bien que lorsque je suis arrivée à Toulouse, une des premières choses que je suis allée voir, c’était les Jacobins.
Alors en quelques mots (enfin je vais essayer de faire court, tant de choses à dire) l’église des Jacobins est un très bel exemple de l’architecture gothique méridionale. C’est pour ça qu’on retrouve cet aspect massif auquel s’ajoute aussi un vocabulaire de l’architecture défensive comme les mâchicoulis (oui, je voulais absolument placer ce mot dans cet avis, je trouve que ça sonne bien).
Bref, à l’intérieur, un plan peu habituel, à deux nefs, l’une était réservée aux Dominicains (donc Jacobins, c’est la même chose) et l’autre aux fidèles.
A voir absolument, le célèbre palmier qui a fait la réputation de l’édifice. Une merveille architectonique qui permet de soutenir la voûte.
Et si vous le pouvez, aller faire aussi un tour dans le cloître, notamment pour admirer la chapelle Saint Antonin.
Bön, j’ai oublié plein de choses mais j’avais dit que j’essayais de faire court!
En résumé: courez-​y, volez-​y, comme vous voulez, mais vous né pouvez pas rater ça.

Cet édifice est plutôt austère de l’extérieur mais on pousse la porte et… whouhaaaa! On est frappé par la majestuosité, par la grandeur de la construction.
Le volume est impressionnant: Pile de 22 mètres de haut, voûtes en étoiles, polychromie des décors, sans oublier «le palmier de Toulouse» dont on peut mesurer sa splendeur à l’aide d’un miroir géant.
De quoi vous embarquer ailleurs…

Un endroit à couper le soufflé !
De la brique, encore et toujours à Toulouse.
A l’intérieur, des volumes impressionnants (qui pourraient faire penser à Cave-​nain). Ce qui frappé, c’est la hauteur des piliers de plus de 20 mètre de haut, l’alternance des pierres dont les couleurs soulignent parfois les arêtes du plafond gothique.
Le lieu n’est pas laissé inhabité, bien au contraire. Il accueille de nombreux événements culturels comme Piano aux Jacobins, Le Marathon des Mots ou des expositions sur les arts notamment.
L’entrée du cloitre est payante, mais il est agréable de déambuler dans les allées ou de s’y poser à la fin de l’après-midi.

L’ensemble conventuel des Jacobins est un vrai portail dans le passé.
Je viens souvent au sein de cet édifice important pour la ville de Toulouse. Il n’a peut-​être pas la même renommée que le Capitole mais est tout aussi imposant et stylisé, voire plus… Lorsque je vais faire un tour aux ‘Jacobins’, comme on l’appelle communément, je rentre d’abord dans l’église. Tout juste magnifique. Elle est haute donc pas forcément lumineuse mais est juste à coupée le soufflé. J’aime aussi la plénitude que l’on ressent systématiquement lorsque l’on vague ensuite parmi les colonnes du cloître et que l’on a une vue imprenable sur la tour. Je me demande toujours combien de temps il a fallu pour arriver à bâtir l’ensemble tout entier… Et lorsque l’on se dit que l’on marche sur les traces qu’un ancien ordre religieux à foulé maintes et maintes fois, c’est étrange.
Une période où j’adore particulièrement y aller, avril. Le festival photographique MAP y expose systématiquement un artiste. L’ensemble conventuel des Jacobins prend alors une toute autre dimension…

L’Ensemble Conventuel des Jacobins fait partie de mes lieux patrimoniaux et culturels préférés à Toulouse. La première fois que j’y suis allée, c’était pour voir une exposition sur les masques du monde, une exposition riche, dépaysante et réellement intéressante. Au-​delà de la qualité des œuvres présentées et de celle du discours muséal mis en place, ce qui m’avait plu dans cette espace d’exposition c’est la grandeur et la beauté du lieu. Les expositions sont accueillies dans une grande salle aux hauts plafonds et les espaces de circulation sont larges et permettent de découvrir les œuvres de manière confortable, en prenant le recul parfois nécessaire.
Si j’aime autant ce lieu, c’est aussi pour son architecture. L’Ensemble Conventuel des Jacobins c’est d’une part l’Église des Jacobins mais également le cloitre. L’Eglise des Jacobins est tout simplement magnifique, c’est un joyau de l’architecture gothique. Les «palmiers» présents sur la voute rende ce lieu magnifique et vertigineux. Afin de pouvoir mieux observer ce «palmier», un miroir a été mis en place au pied d’une colonne, un miroir qui m’attire et m’hypnotise pendant plusieurs minutes à chacune de mes visites. Je trouve que ce miroir donne une perspective fantastique à l’Eglise, il permet de la voir sous un tout autre angle et d’en observer toute la grandeur. Lorsque je me rends aux Jacobins, j’aime également prendre le temps de flâner dans le cloitre. Ancien lieu de méditation et de recueillement, ce lieu a su garder son côté calme et reposant.
Pour une personne qui fait de la photographie comme moi, l’Ensemble Conventuel des Jacobins est une véritable aubaine. Il y a tant de sujets à photographier, tant de perspectives sous lesquels les envisager, etc. Ma dernière visite? Une soixantaine de clichés et une balade reposante d’une bonne heure

J’aime trainer dans les églises. Mon athéisme s’y sent au calme. Ici on est servi. Une des plus hautes voutes qu’il m’a été donné de visiter. D’immenses piliers dressés au milieu de la nef soutiennent les arcs qui rayonnent. Les fameux palmiers.
Le cloître aussi vaut le détour avec ses galeries et ses doubles colonnettes aux chapiteaux ornementés. On se demande si Sean Connery né va sortir d’un recoin avec Umberto Eco pour nous raconter le nom de la rose.
Mais en fait non, parce que le lieux étant géré par la mairie, on n’y célèbre plus de messes. On y organise plutôt des concerts, un festival de piano, et des lectures publiques pendant le Marathon des mots.

Eine sehr große, zweischiffige Hallenkirche die
von einer mittleren Säulenphalanx gehalten wird. Besonders schön ist der palmenartige Abschluss
der letzten Säule vor dem Altar. Rund um diese Säule ist ein großer Spiegel
angebracht, so dass man die Feinheiten des Mauerwerks sehr gut betrachten kann.
Wer die Kirche bei Sonnenschein betritt wird erst mal von dem mannigfaltigen
Farbenspiel der schönen Buntglasfenster gefangen genommen. Das Farbenspiel
spiegelt sich sogar auf den Säulen wieder. Ansonsten ist die Kirche mit Ausnahme
des Altars und eines, Thomas von Aquin zugeschriebenen, Reliquienschreins
nahezu schmucklos. Für 4 Euro Eintritt kann man den Kreuzganz des
ehemaligen Klosters besichtigen. Zugegeben: Der Kreuzgang ist sehr schön. Rund
um den Brunnen und dem Garten in der Mitte verläuft eine doppelsäulige
Bogenfenstergalerie. Im hinteren Teil (zum Turm der Kirche hin) des Kreuzgangs
kann man zwei alte Kapellen besichtigen, wobei die erste die Größe einer
eigenen Kirche erreicht. Diese wird allerdings momentan komplett restauriert
weswegen es keinen Zugang gab. Die zweite Kapelle besticht durch ihren
Blaustich, da hier sämtliche Fenster mit blaufarbigem Glas ausgestattet sind.
Im oberen Bereich der Mauern erkennt man die Überreste von farbenfrohen
Fresken. Abschließend gibt es noch einen dritten großen Raum den man vom Kreuzgang aus erreichen kann. Hier
werden auch die sehr beliebten Pianokonzerte, für die die Kirche berühmt ist,
abgehalten. Ansonsten ist der Kreuzgang selber schmucklos und sehr nüchtern.
Immerhin: Es gibt gut gepflegte Toiletten. Insgesamt kein rausgeworfenes Geld,
ich würde es mir aber zweimal überlegen, ob ich die stolze Summe von 4, — Euro
für diese Besichtigung ausgeben würde. Insgesamt kommt das Jacobinerkloster, egal ob
mit oder ohne Kreuzgang bei mir nicht über 3 Sterne hinaus.

Encore un monument incontournable !
Les photographes s’éclateront avec le miroir installé au pied du fameux ‘palmier’. Dommage que l’accés au cloître soit payant, mais c’est pour la bonne cause, il y a tellement de travaux à faire dans ces bâtiments…

Incontournable…
Encore un beau monument de l’architecture Toulousaine… C’est avec pur plaisir que j’aime faire visiter Les Jacobins. Le cloître reste mon endroit favori… Bref, un petit bout de notre patrimoine à né pas manquer…

This is a place where you can indeed feel being part of history. Walking distance from Place du Capitole and the famous façade of the Pierre de Fermat school, the convent and church of les Jacobins have been waiting for you since the 13^th century.
Visit the main room, with its famous pillar called the ‘palm tree’ for free, but don’t hesitate to pay the 3 EUR entrance fee for the cloister.
Not only you will be able to see the tower from the patio and take beautiful pictures, but maybe also experience some middle-​aged introspective flash. Although in the heart of Toulouse, let the peace and quiet fill you: take a break!

Impressionant palmier
Magnifique ensemble impressionant par sa hauteur. Le jeu réalisj par le miroir au pied l du palmier danq la structure donne l’impression de vertige. Le cloitre est payant et un peu cher, dommage !

Ancien cloitre toulousain…
Très belle architecture extérieure et intérieur, avec de grands piliers que l’on pourra admirer l’intérieur même de l’église. Avec un jardin assez décevant car il n’y a pas d’arbres fruitiers ou épices, l’accueil est moyen et l’ensemble aussi m’a un peu décu. D’ailleurs je trouve l’entrée mal situé, assez complexe pour trouver le chemin pour y aller, avec des rues étroites mais ce n’est qu’un aspect exterieur. Cependant la conservation du monument est tombé un peu dans l’oubli on se retrouve dans le cloitre à admirer les vieilles peintures sur les murs tout décrépis, l’espace intérieur donne lieu quelques fois a des manifestations culturelles comme des concerts. Il ressemble un peu aux Augustins mais je préfère de loin ce dernier. J’ai failli me faire voler le vélo a l’entrée alors faites attention.

Après le palmier, allez voir le cloître, recueillez-​vous sur la dépouille de St-​Thomas d’Aquin, Confesseur de Docteur de l’Eglise, translaté en 1974 depuis la basilique St-​Sernin, confié à l’ancien couvent dominicain en 1385 par le pape Urbain V.

De dehors, l’édifice est assez austère et massif. Il est situé à côté du lycée Pierre-​de-​Fermat.
Quand on entre, on est tout de suite impressionné par la taille des lieux (80 mètres de long, 20 de large). Construit entièrement en briques, entre le XIIIe et le XIVe siècle.
Admirez le célèbre palmier haut de 28 mètres…Grâce à un miroir, qui reflète le plafond, on peut admirer la profondeur de l’architecture sans lever la tête. Les voutes, les nervures… Ca donne un peu le vertige.

Incroyable forteresse aux rosaces arabesques
Bonjour, j’aime ce lieu, cette immensité, la lueur du jour à travers les vitraux, son cloître payant mais magnifique. A né pas manquer ! Amicalement votre,