Café Caché

Super cadre, avec une déco toute en bois, un peu old school. Le service est sympa et dynamique. J’ai commandé un jus de bissap, un peu trop dilué à mon goût, des frites et des tartines chorizo et tomates (me souviens plus du nom mais c’était à tomber !). J’ai goûté également le crique monsieur aux légumes, un délice ! Tout cela pour un prix plutôt convenable, donc je pense y retourner très vite !

Ambiance sympa, un peu bruyante. Service jeune et sympa, mais ou bien pas assez nombreux ou un peu inefficace. Le thé au lait aux épices manqué de thé et d’épices. Le verre pour le thé est un peu vide et l’eau plutôt tiède. Le sirop à l’eau manqué de sirop. Mais on a vu pire ailleurs ! Et le 104 reste génial.

Le cadre est sympa avec cette jolie déco en bois. On y reste volontiers pour boire un verre après une expo au 104 mais je trouve les tarifs un peu élevés.

Service exécrable, une heure d’attente entre la commande et l’arrivée des plats de la formule brunch… Avec des oublis /​erreurs dans les commandes !
Et les plats sont d’une qualité très moyenne.

Petits prix le midis pour ce café caché !
Plat du jour à 12,50 euros (moules frites ce jour là) ou formule à 13,50 euros avec un choix de 3 éléments salés et /​ou sucrés à mixer comme vous le souhaitez.
Tout était frais et très fin.
Le pain vraiment bon et le quartier d’orange sanguine dans la carafe d’eau était le petit plus sympathique.
Je n’ai pas trouvé tout de suite ce café caché, bien souvent je m’arrêtais à la terrasse et sa fausse pelouse (et aussi ses chaises avec vêtements intégrés).
En fait il faut passer par une petite bibliothèque, lever les yeux sur le CHAT jaune et hop on arrive dans une autre petite salle chauffée en hiver aux inspirations 1950, imaginée par le designer Sébastien Wierinck (ex artiste résident au 104), avec tout plein de bois sur les murs et le plafond.
Laure Bacchetta, chef du Café y développe une cuisine du jour inspirée et savoureuse.
On y trouve aussi des jus de fuits frais pressés et autres boissons comme le Grand Chai à 3,60 euros que je recommande.
Ils servent toute la journée des en-​cas types croques monsieur, salades, sandwichs
Astuce: l’accès direct par la rue d’Aubervilliers permet au Café caché de vous accueillir même lorsque le CENTQUATRE est fermé.

Dans le 104, terrasse dans une cour intérieure avec toit ouvrant. Pelouse synthétique au sol. Sympa pour boire un verre.

J’ai beaucoup aimé ce café. Caché certes mais surtout VIDE donc c’est super quand on veux une place assise!
Je né suis pas restée longtemps mais je voulais signaler le fait que le personnel est super sympa et que la terrasse vaut bien le détour!
N’hésitez pas à y aller si vous vous trouvez au 104 !

Petite pause gourmande avant l’exposition sur Keith Haring.
Les lasagnes étaient vraiment délicieuses et la part servie copieuse; le crumble aurait pu être meilleur (trop de rhubarbe, pas assez de croustillant)
J’ai adoré l’atmosphère du lieu qui est totalement raccord avec le 104; bonne musique, ambiance à la cool, grandes tables et exposition de quelques toiles pour se mettre en jambe avant ma visite culturelle.
Bön, le service était un peu lent (serveur gentil mais à l’air un peu débordé…) et comme c’est un espace semi ouvert, on peut fumer dans le café ce qui est gênant pour les gens comme moi qui né supporte pas la cigarette !!
Mais ça m’a pas empêché de trainer à la table en dévorant un bon bouquin et le repas avant de profiter des merveilles du 104 !!
Un bel endroit à encourager !

Super endroit pour un apéro entre potes en terrasse (couverte): les tables sont grandes, le service est efficace et le cadre est cool. Je n’ai pas d’avis sur la cuisine car je n’ai pas pu y gouter mais d’aspect ça avait l’air bien… Et puis, pour la digestion, rien de mieux que de se balader dans l’immeeeense 104 et surtout de s’arrêter dans la librairie trop chou.

C’eut été bon !
J’étais un client régulier, et la chef est partie et tout a changé: de ravi, je suis passé à déçu. La seule chose qui n’a pas changé, c’est le service, des personnes qui vous prennent de haut, et qui vous font patientez, patientez… déplorable ! Bref, c’eut été un chouette lieu.

J’aimais bien ce Café Caché que j’avais découvert par hasard à l’occasion d’une après-​midi littéraire en avril 2011. J’y étais retourné 3 ou 4 fois depuis, sans être trop gêné par le côté brouillon et désorganisé du service. Mais aujourd’hui, en partant j’ai tenu à leur dire un dernier adieu en leur précisant que je né reviendrai plus jamais (manifestement d’ailleurs, ils s’en fichaient éperdument !)
Ce n’est pas la lenteur du service qui m’a le plus gêné, j’y étais venu avec une amie pour travailler.
tout a commencé à se gâter lorsque, à la commande mon amie a demandé à remplacer les pâtes du plat du jour par des frites. Réponse: Le patron l’a déjà refusé hier, je vais demander mais et réponse négative. Le garçon était sympa mais débordé, ça n’était pas de sa faute.
Puis les plats arrivèrent dans un ordre aléatoire et il fallut réclamer plusieurs fois pour avoir la suite.
Enfin demandant à ce qu’on nous serve le café avec le dessert, nous eûmes le café en dix minutes et le dessert 20 minutes plus tard après deux réclamations.
Je n’étais pas encore trop en colère, nous avions bien travaillé. Les choses se gâtèrent sérieusement lorsque je fis signe à un serveur pour payer. Réponse criée à 8 mètres: Vous n’avez qu’à venir à l’intérieur, il y a la machine à carte (laquelle est bien un terminal portatif prévu pour le paiement à la table)
M’étant déplacé, je fus encaissé sans un mot et sans un regard et je les gratifiais d’un Merci au revoir. Pas de réponse, ils bavardaient, je tentais alors plus fort AU REVOIR !, toujours rien là effectivement j’en ai eu marre de tant de mépris et d’arrogance et je réussis à interrompre leur bavardage pour leur dire Je tiens à vous dire au revoir, car je né reviendrai plus jamais, votre sens du client est vraiment trop nul et le service était particulièrement nul aujourd’hui.
Le pire est que ça né leur a fait ni chaud ni froid. Quand même 52 euros à 2 pour se faire traiter de la sorte c’est du masochisme !
Cachez-​vous Café-​Caché ! Disparaissez même ! ou laissez la place à une équipe compétente.

Déjà, il y a une pièce dont le sol est recouvert de gazon synthétique et j’entretiens une passion aussi ridicule qu’époustouflante pour le gazon synthétique (essayez de vous déguiser en faidherbe, vous comprendrez) donc forcément, me voilà conquise. La deuxième salle a une déco très surprenante. Parfait.
Il est 14h30, on meurt de faim sans oser se l’avouer. La découverte de la carte a été un bonheur: plein de tapas, assez originaux. Mon choix s’est arrêté sur: les carottes rôties au gingembre, les piquillos au fromage blanc et au thon (c’était un peu plus élaboré que ça, mais ma mémoiré me fait un peu défaut) et le tartare de haddock aux agrumes (une de mes grandes passions).
MIAM.
12 euros pour 3 tapas, on reste dans des prix tout à fait correct.
Le point négatif: le service laisse un peu à désirer, l’amabilité, c’est une phrase sur deux…

Service à chier
Si vous êtes adepte du croque monsieur végétarien et si vous aimez vous qu’on vous traite comme de la merde ce restaurant est fait pour vous ! Pas de jambon dans le croq monsieur, erreur signalée en milieu de repas, on né nous propose même pas de le changer par ce qu’on l’a signalé trop tard. On réclame un geste commercial finalement accepté. Au moment de payer, au bar, les serveurs se renvoient la balle pour nous encaisser, prétextant qu’ils n’ont pas le temps, le barman énervé fini par accepter de le faire. Nous lui signalons «Vous» avez fait une erreur dans la commande et nous attendons un geste commercial, le pseudo «barman» (serveur volant) prend notre réflexion pour lui «Non monsieur ce n’est pas moi qui ait fait une erreur MOI je né vous ai pas servi» sur un ton très agressif. C’est vous dire l’intelligence du mec ! qui né comprend même pas qu’on est en train de parler de l’établissement et non pas de lui directement, mais on né va pas lui demander d’avoir un cerveau ce n’est qu’un barman. Le ton monte il finit par nous tutoyer et devient insultant. Le patron intervient pour calmer le jeu, au moins lui il a l’air correct mais il né sait visiblement pas choisir ses employés. Au final la nourriture était pourtant bonne mais nous n’y retournerons pas. Ce restaurant risqué de perdre beaucoup de clients à cause de son personnel qui né respecte pas les clients et qui ferait mieux de faire autre chose que de travailler dans la restauration.

Le café caché du 104, pas évident à trouver comme son nom l’indique parce-qu’il né présente pas d’enseigne, a un accès par le 104 ou par la rue d’Aubervilliers quand le 104 est fermé. Le lieu se présente sous la forme d’une cour pavée couverte par une tente dans laquelle est disposé du mobilier rétro année ’50 dépareillé comme c’est un peu la tendance actuellement. Une petite salle non-​fumeur en retrait a été imaginée par le designer Sebastien Wierinck (ex-​résident du 104). Entièrement recouverte de bois l’ambiance fait un peu chalet cosy-​branché. La commande se fait au bar, pour une bière comptez 5 euros, un peu plus pour un cocktail. Pour grignoter la commande est servie sur un plateau à emporter façon self. Les conso et les plats sont assez communs (burgers-​frites moyens…). L”intérêt du lieu réside finalement dans l’accrochage éphémère de créations de jeunes artistes: dessins, peintures, photos… La sélection est plus ou moins intéressante (affaire de goûts j’imagine) mais elle attire un public averti de jeunes artistes pas fauchés. Une population pas tellement diversifiée donc (20 – 30 ans) et pas non plus représentative de la mixité du quartier.
Un bar d’avertis à voir une fois (éventuellement) lors d’un passage au 104.

Juste à côté du travail, c’est devenu une cantine régulière. Le patron est sympa, les serveurs, ça dépend. Ce n’est pas donné pour le quartier mais la nourriture est de qualité. Seul soucis, on est jamais sur de la quantité de nourriture qu’il y aura dans l’assiette. Même le croque-​monsieur change de taille…
A goûter absolument, leur milkshake vanille-​spéculoos et leur cocktail sans alcool «Rio-​Bamako».

le cadre est agréable, une espèce de terrasse mi-​couverte, attention à la pluie ^^ la bière est pas trop chère, il parait que la bouffe est bonne et originale, mais le burger qu’on a gouté était vraiment pas bon, pour 12EUR c’était limite…

Perso je trouve que la qualité a baissé ces derniers temps au café caché. De plus en plus de monde le week-​end et un service catastrophique. Victime de leur succès, le café reste quand même agréable lorsqu’il n’y a pas trop de monde.

Le café caché, il faut le trouver. Normal. J’entre par une porte au 104, côté rue Richet, fait un tour des lieux. C’est beau, dommage qu’il n’y ait pas une petite terrasse pour se poser. Juste un camion de pizzas au milieu de la halle mais l’idée est de boire un apéro au soleil. Il fait beau, autant en profiter. Tant pis je vais me rabattre sur un bistrot minable du quartier. Je me dirige vers la deuxième sortie et là comme par miracle, dans une petit cour, juste à gauche, se trouvent des tables et des chaises. Pardi, c’est un café ! Quelle bonne nouvelle. En plus, il est sympa. J’adore la déco d’inspiration 50’s imaginé par le designer Sebastien Wierinck et le mobilier contemporain. C’est pas cher, chose rare pour un café de musé. L’accueil par contre, est pas gé gé. On me regarde bizarrement parce que je viens commander au bar: un mojito, relativement bon et une assiette de frite faite maison. Je goûte au croque-​monsieur de ma copine: rien à redire. A savoir maintenant si je reviendrais au Centquatre juste pour cet endroit, je né sais pas trop. En tout cas, une chose est sûre: je n’envisagerais pas venir au Centquatre sans faire une halte ici.